Comment avez-vous vécu/vivez-vous votre 1ère grossesse? craintes, doutes, questions et quelle a été l'attitude de votre
Comment avez-vous vécu/vivez-vous votre 1ère grossesse? craintes, doutes, questions et quelle a été l'attitude de votre
Coucou les filles,
J'ai 34 ans et je vis ma 1ère grossesse, J'ai tendance à être sans doute un peu trop à l'écoute de mon corps car lorsque je ne sens pas mon bébé durant un certain temps, celà m'inquiète ... Je découvre de nouvelles sensations et les douleurs liées à la grossesse type douleurs abdominales localisées dans la fosse iliaque droite ou bien au niveau de l'aine (dûes sans doute à une forte constipation). IL m'arrive aussi de penser au pire (mort in utéro, étranglement par cordon etc ...) et appréhension quant à l'accouchement (peur d'une épisiotomie ou césarienne liées aux expériences douloureuses de ma mère et grande soeur). Quand j'en parle à mon mari (il est médecin), il dit que j'angoisse beaucoup trop alors que je ne fais qu'exprimer ce que je ressens et que je cherche avant tout un soutien moral. Du coup, il y a comme un décalage entre nous. J'ai décidé dorénavant de ne plus rien lui dire car il ne me réconforte pas du tout, alors que c'est tout ce que je lui demande. Ma question est celle-ci : quelle a été votre expérience par rapport à votre 1ère grossesse et comment s'est comporté vos conjoints respectifs ?
Merci pour vos réponses et bon courage à toutes ... :-)
J'ai 34 ans et je vis ma 1ère grossesse, J'ai tendance à être sans doute un peu trop à l'écoute de mon corps car lorsque je ne sens pas mon bébé durant un certain temps, celà m'inquiète ... Je découvre de nouvelles sensations et les douleurs liées à la grossesse type douleurs abdominales localisées dans la fosse iliaque droite ou bien au niveau de l'aine (dûes sans doute à une forte constipation). IL m'arrive aussi de penser au pire (mort in utéro, étranglement par cordon etc ...) et appréhension quant à l'accouchement (peur d'une épisiotomie ou césarienne liées aux expériences douloureuses de ma mère et grande soeur). Quand j'en parle à mon mari (il est médecin), il dit que j'angoisse beaucoup trop alors que je ne fais qu'exprimer ce que je ressens et que je cherche avant tout un soutien moral. Du coup, il y a comme un décalage entre nous. J'ai décidé dorénavant de ne plus rien lui dire car il ne me réconforte pas du tout, alors que c'est tout ce que je lui demande. Ma question est celle-ci : quelle a été votre expérience par rapport à votre 1ère grossesse et comment s'est comporté vos conjoints respectifs ?
Merci pour vos réponses et bon courage à toutes ... :-)
Salut! Alors ici aussi c'est
Salut!
Alors ici aussi c'est ma première grossesse. De nature, je suis plutôt anxieuse mais à ma grande surprise, j'ai abordé cette grossesse de manière plutôt zen jusqu'à maintenant. Pourtant, ça n'a pas été rose tous les jours. J'ai eu de gros problèmes d'insomnies pendant les 4 premiers mois et ça été une période très difficile à vivre. Depuis, ça va plutôt bien même si les petits désagréments sont quotidiens actuellement (je suis à terme dans 3 semaines). J'essaie de ne pas penser à ce qui pourrait arriver de pire au bébé. C'est sûr que ça arrive mais de se ronger les sangs à penser au pire, n'évitera pas le pire si ça doit produire. Enfin, c'est ma réflexion sur le sujet :-) Alors quand de telles pensées me traversent la tête, je m'occupe à faire autre chose pour ne pas y penser. Concernant l'accouchement, je flippe aussi à quelques jours du grand moment :-) Mais c'est normal.
Par contre, j'ai de la chance avec mon mari. Il a toujours été très compréhensif et m'a bcp épaulée en me déchargeant des tâches ménagères très rapidement. En revanche, niveau soutien moral, c'est pas toujours ce que je voudrais. Il peine à comprendre certaines de mes craintes par rapport à l'accouchement notamment mais je ne lui en veux pas, ça reste très abstrait pour lui! Je pense qu'il assurera le moment venu :-) Alors j'en parle aux copines et en général, elles me rassurent, même celles qui n'ont pas vécu un accouchement de rêve!
Pourquoi ne pas discuter avec ton mari de ce que tu attends de lui. Tu pourrais lui dire que c'est important pour toi nqu'il se contente de d'écouter et de valider tes craintes au lieu de les minimiser, parce que cela ne t'aide pas à aller mieux. Je suis certaine qu'avec un peu d'entraînement, il va finir par y arriver!
Courage à toi en tout cas et ne te mine pas trop en pensant à tout ce qui pourrait arriver de pire à toi ou à ton bébé. Tu vis un moment important de ta vie et même si c'est pas évident tous les jours, ils faut essayer d'en profiter parce qu'une grossesse c'ets limité dans le temps et ça ne se reproduit pas 15 fois dans une vie... Pourquoi ne pas te changer les idées, voir du monde, te faire masser ou faire les ongles. ca change les idées et je crois deviner que c'est ce qu'il te faut!
Bon dimanche!
-------------
Jetsetika
Enceinte de BB1, prévu le 17 juillet 2010
Alors ici aussi c'est ma première grossesse. De nature, je suis plutôt anxieuse mais à ma grande surprise, j'ai abordé cette grossesse de manière plutôt zen jusqu'à maintenant. Pourtant, ça n'a pas été rose tous les jours. J'ai eu de gros problèmes d'insomnies pendant les 4 premiers mois et ça été une période très difficile à vivre. Depuis, ça va plutôt bien même si les petits désagréments sont quotidiens actuellement (je suis à terme dans 3 semaines). J'essaie de ne pas penser à ce qui pourrait arriver de pire au bébé. C'est sûr que ça arrive mais de se ronger les sangs à penser au pire, n'évitera pas le pire si ça doit produire. Enfin, c'est ma réflexion sur le sujet :-) Alors quand de telles pensées me traversent la tête, je m'occupe à faire autre chose pour ne pas y penser. Concernant l'accouchement, je flippe aussi à quelques jours du grand moment :-) Mais c'est normal.
Par contre, j'ai de la chance avec mon mari. Il a toujours été très compréhensif et m'a bcp épaulée en me déchargeant des tâches ménagères très rapidement. En revanche, niveau soutien moral, c'est pas toujours ce que je voudrais. Il peine à comprendre certaines de mes craintes par rapport à l'accouchement notamment mais je ne lui en veux pas, ça reste très abstrait pour lui! Je pense qu'il assurera le moment venu :-) Alors j'en parle aux copines et en général, elles me rassurent, même celles qui n'ont pas vécu un accouchement de rêve!
Pourquoi ne pas discuter avec ton mari de ce que tu attends de lui. Tu pourrais lui dire que c'est important pour toi nqu'il se contente de d'écouter et de valider tes craintes au lieu de les minimiser, parce que cela ne t'aide pas à aller mieux. Je suis certaine qu'avec un peu d'entraînement, il va finir par y arriver!
Courage à toi en tout cas et ne te mine pas trop en pensant à tout ce qui pourrait arriver de pire à toi ou à ton bébé. Tu vis un moment important de ta vie et même si c'est pas évident tous les jours, ils faut essayer d'en profiter parce qu'une grossesse c'ets limité dans le temps et ça ne se reproduit pas 15 fois dans une vie... Pourquoi ne pas te changer les idées, voir du monde, te faire masser ou faire les ongles. ca change les idées et je crois deviner que c'est ce qu'il te faut!
Bon dimanche!
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Jetsetika
Enceinte de BB1, prévu le 17 juillet 2010
Pour ma 1ème grossesse
Pour ma 1ème grossesse j'étais nettement plus zen que pour la 2ème!
J'étais jeune, j'avais 17 ans, et peut être que j'étais eu peu naïve. Je suivais scrupuleusement les conseils du gynéco et tout s'est bien passé. Les craintes que j'avais c'était en pensant à l'avenir de mon bébé, j'avais peur de pas arriver à m'en occuper, etc.
Pour ma 2ème grossesse j'étais complètement parano. Et la faut à qui? A Internet. Je lisais beaucoup trop de scénarios catastrophe je crois et ça me rendait malade. Toxo, CMV, tous ces virus me faisaient flipper, j'osais plus toucher de la viande, j'avais peur de faire des bisous à mon fils (complètement dingue) et en plus c'était en pleine psychose grippe A! Mon mari ne comprenait pas et me prenait pour une folle. Alors j'évitais de lui parler de mes angoisses.
Mais finalement tout s'est bien passé et malgré un petit souci à la naissance de mon 2ème, tout est rentré dans l'ordre et tout va bien maintenant!
Bon courage et profite bien de ta grossesse!
J'étais jeune, j'avais 17 ans, et peut être que j'étais eu peu naïve. Je suivais scrupuleusement les conseils du gynéco et tout s'est bien passé. Les craintes que j'avais c'était en pensant à l'avenir de mon bébé, j'avais peur de pas arriver à m'en occuper, etc.
Pour ma 2ème grossesse j'étais complètement parano. Et la faut à qui? A Internet. Je lisais beaucoup trop de scénarios catastrophe je crois et ça me rendait malade. Toxo, CMV, tous ces virus me faisaient flipper, j'osais plus toucher de la viande, j'avais peur de faire des bisous à mon fils (complètement dingue) et en plus c'était en pleine psychose grippe A! Mon mari ne comprenait pas et me prenait pour une folle. Alors j'évitais de lui parler de mes angoisses.
Mais finalement tout s'est bien passé et malgré un petit souci à la naissance de mon 2ème, tout est rentré dans l'ordre et tout va bien maintenant!
Bon courage et profite bien de ta grossesse!
Salut, alors tout d'abord
Salut,
alors tout d'abord je comprends bien toutes tes appréhensions, doutes et interrogations, 1 première grossesse est une nouvelle expérience que la futur maman vit au plus profond d'elle même.
Je trouve dommage l'attitude de ton mari qui plus est, est médecin...
Pour ma part, 1ière grossesse, des jumeaux, les 3 premiers mois j'étais très angoissée d'en perdre un (ma gynéco nous avait conseillé de ne rien dire à personne tant que le délai de 3 mois n'était pas passé) du coup pendant 3 mois nous n'avions rien dit sur le fait que j'attendais des jumeaux mais juste dit que j'étais enceinte.
Bien sûr beaucoup de questions aussi, je me demandais comment allait se passer ma grossesse en général. Très tôt j'ai eu des douleurs musculaires (un de mes jujus était très mal placé au début) et mon mari n'avait pas manqué de me faire remarquer que je n'arrêtais pas de me plaindre.....je lui avais juste répondu qu'il ne savait pas ce que je vivais à l'intérieur, la grossesse ce n'est pas que attendre un enfant, c'est aussi devoir vivre avec tout plein de petits problèmes durant 9 mois (douleurs musculaires, constipation, nausées, vertiges, fatigue etc....) donc il avait vite arrêté de me contrarier.
J'avais été émerveillée de les sentir vers le 3ième mois, c'était just magique :)
Mon mari s'est tout de suite investi dans ma maternité, m'accompagnait aux échos, nous étions ensemble c'était magique.
Puis j'avais aussi peur de passer de 2 à 4.....en général, on est d'abord 3 puis 4, là on accueillaient tout de suite 2 bébés et c'était assez flippant. Et nous étions jeunes (nous le sommes toujours, mon mari a 23 et moi 26).
J'avais su très vite que j'allais avoir une césarienne donc pas trop d'appréhension à ce niveau là.
Par contre comme j'ai passé une fin de grossesse particulièrement difficile psychologiquement (j'ai perdu mes parents a 6 mois de grossesse) les 2 derniers mois je ne les ai pas du tout vécu intensément. Aujourd'hui j'ai l'impression d'être totalement passé à côté :(
Mais mes bébés allaient bien, donc j'étais rassurée de les savoir les deux là.
C'est horrible à dire mais durant les 2 premiers mois de ma grossesse, j'avais presque espèré qu'un s'en aille parce que ma grossesse n'était pas programmée et nous avions très peur de l'après, par contre heureusement déjà à la 2ième écho, mon amour pour mes bébés avaient déjà grandi et j'avais peur d'en perdre un, j'aurais été trop mal si un était parti par la suite :( On s'étaient fait à l'idée après "le choc" de l'annonce de la grossesse gémellaire que finalement on pouvaient s'en sortir avec deux.
Puis évidemment à chaques échos, le soulagement d'entendre battre leurs petits coeurs, l'émerveillement de les découvrir à travers l'écran et notre amour et attachement pour eux grandissant de jour en jour.
"L'argent ne fais pas le bonheur mais y contribue"
Merci pour ta réponse
Merci pour ta réponse Jetsetika.
J'ai souvent pris la peine de lui en parler mais j'ai compris qu'il manquait d'empathie et de psychologie. Il se plaint d'ailleurs lui-même quand il reçoit des patients dépressifs. IL n'a pas la patience de les écouter et se plaint une fois rentré à la maison. Je pense que je dois faire une croix sur son soutien moral, me concentrer sur moi et le bébé et comme tu me l'as suggéré, me faire masser et me faire dorloter. Pour les oreilles attentives, je vais me retourner vers mes amies et proches, qui j'en suis persuadée, sauront trouver les mots de réconfort si besoin ...
Bon dimanche à toi aussi et tout de bon pour ton futur accouchement :)
J'ai souvent pris la peine de lui en parler mais j'ai compris qu'il manquait d'empathie et de psychologie. Il se plaint d'ailleurs lui-même quand il reçoit des patients dépressifs. IL n'a pas la patience de les écouter et se plaint une fois rentré à la maison. Je pense que je dois faire une croix sur son soutien moral, me concentrer sur moi et le bébé et comme tu me l'as suggéré, me faire masser et me faire dorloter. Pour les oreilles attentives, je vais me retourner vers mes amies et proches, qui j'en suis persuadée, sauront trouver les mots de réconfort si besoin ...
Bon dimanche à toi aussi et tout de bon pour ton futur accouchement :)
ma première grossesse je
ma première grossesse je l'ai vécu un peu comme toi, paniquée et angoissée.
l'environnement était pas top non plus, on habitait chez BM, c'était assez conflictuel entre ses mensonges, et ses insinuations douteuses sur la paternité de son fils bref, pas la joie.
je suis restée à la maison du début à la fin, en sortant très rarement et je ne travaillais pas, alors je me suis beaucoup écoutée, trop peu être, je ressentais chaque petite douleur comme une croix trop lourde, j'étais triste, fatiguée, mon chéri n'avait pas l'air trop concerné (premier enfant à 24 ans, il lui a fallu du temps pour réaliser), et je ne pouvais en parler a personne.
j'ai eu des nausées les 5 premiers mois, et les trois derniers j'ai eu le bassin bloqué après chaque petite activité, alors autant dire qu'il y a eu un seul mois ou je me suis sentie a peu près bien, j'ai pas eu de ventre jusqu'à 6 mois, et c'était pas gratifiant du tout, surtout quand c'est une infirmière des urgences qui me dit: "enceinte de 4 mois??? vous êtes sure??? c'est peut être une grossesse nerveuse vous savez" alors que je venait en urgence pour une forte douleur au ventre.
Les SF de la mat m'ont conseillé de sortir et de voir du monde mais c'est la dernière chose dont j'avais envie.
j'arrêtais pas de penser au pire, mort in utéro, étranglement, mort subite du nourrisson, la peur de pas trouver un appart a temps, de devoir vivre avec le bébé chez Bm etc...
c'est normal d'avoir peur, l'idée de "la femme enceinte belle et épanouie" pour moi c'est une pure con**rie, peu de femmes se sentent vraiment comme ça. Dans la vraie vie de tous les jours on marche en canard, on fait l'escargot, on a mal, on se sent lourde, fatiguée, on a des nausées, on s'inquiète pour son bébé, on prie a chaque contrôle que son cœur batte toujours, qu'il bouge bien, qu'il ai assez de liquide, qu'il ai grandit, que le tube neural soit bien fermé, que la clarté nucale soit bonne, que le tri test soit normal etc...
je te souhaite une bonne grossesse, tu eux toujours écrire ici ce que tu ne veux pas dire a ton mari, y aura toujours des copinautes pour te soutenir et te rassurer^^
-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°
l'environnement était pas top non plus, on habitait chez BM, c'était assez conflictuel entre ses mensonges, et ses insinuations douteuses sur la paternité de son fils bref, pas la joie.
je suis restée à la maison du début à la fin, en sortant très rarement et je ne travaillais pas, alors je me suis beaucoup écoutée, trop peu être, je ressentais chaque petite douleur comme une croix trop lourde, j'étais triste, fatiguée, mon chéri n'avait pas l'air trop concerné (premier enfant à 24 ans, il lui a fallu du temps pour réaliser), et je ne pouvais en parler a personne.
j'ai eu des nausées les 5 premiers mois, et les trois derniers j'ai eu le bassin bloqué après chaque petite activité, alors autant dire qu'il y a eu un seul mois ou je me suis sentie a peu près bien, j'ai pas eu de ventre jusqu'à 6 mois, et c'était pas gratifiant du tout, surtout quand c'est une infirmière des urgences qui me dit: "enceinte de 4 mois??? vous êtes sure??? c'est peut être une grossesse nerveuse vous savez" alors que je venait en urgence pour une forte douleur au ventre.
Les SF de la mat m'ont conseillé de sortir et de voir du monde mais c'est la dernière chose dont j'avais envie.
j'arrêtais pas de penser au pire, mort in utéro, étranglement, mort subite du nourrisson, la peur de pas trouver un appart a temps, de devoir vivre avec le bébé chez Bm etc...
c'est normal d'avoir peur, l'idée de "la femme enceinte belle et épanouie" pour moi c'est une pure con**rie, peu de femmes se sentent vraiment comme ça. Dans la vraie vie de tous les jours on marche en canard, on fait l'escargot, on a mal, on se sent lourde, fatiguée, on a des nausées, on s'inquiète pour son bébé, on prie a chaque contrôle que son cœur batte toujours, qu'il bouge bien, qu'il ai assez de liquide, qu'il ai grandit, que le tube neural soit bien fermé, que la clarté nucale soit bonne, que le tri test soit normal etc...
je te souhaite une bonne grossesse, tu eux toujours écrire ici ce que tu ne veux pas dire a ton mari, y aura toujours des copinautes pour te soutenir et te rassurer^^
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Merci pour ton post
Ce que tu as écrit m'as beaucoup touchée. Je comprends que les hommes on vraiment du mal à supporter les plaintes de leur compagne, d'autant plus lorsqu'ils se sentent étrangers de ce qu'elles traversent, et là en l'occurrence il s'agit d'une 1ère grossesse. Tu as été très courageuse et les sentiments que tu as eu les premiers mois sont très humains. Heureusement qu'avec le temps et la concrétisation de la grossesse, on finit par lier un lien d'amour et s'attacher à nos petits bouts quel que soit leur nombre. Les craintes sont totalement légitimes pour une future maman surtout lorsqu'elle vit une grossesse pour la 1ère fois et il est important de trouver une oreille attentive et surtout compréhensive. Ce qui m'a fait le plus de mal c'était de me sentir jugée et incomprise par le propre père de mon bébé ... Mais j'admets que la situation est loin d'être dramatique. Il n'a jamais connu qui que ce soit qui soit tombée enceinte et pense, de son point de vue, qu'il fournit déjà assez d'efforts ...
Maintenant il est vrai que rien de sert de penser au pire et que même si quelque chose devait arriver, nous n'y pourrions rien. Et je comprends que même en faisant de mon mieux, je ne suis pas capable de contrôler tous les facteurs et aléas liés à la grossesse.
IL est important de partager ses expériences avec d'autres mamans ou futures mamans ou passent ou qui sont passées par là, car elles seules finalement savent de quoi je parle.
Prends soin de toi et de tes deux petits bouts et encore merci pour ton témoignage. Tout de bon pour la suite :)
Maintenant il est vrai que rien de sert de penser au pire et que même si quelque chose devait arriver, nous n'y pourrions rien. Et je comprends que même en faisant de mon mieux, je ne suis pas capable de contrôler tous les facteurs et aléas liés à la grossesse.
IL est important de partager ses expériences avec d'autres mamans ou futures mamans ou passent ou qui sont passées par là, car elles seules finalement savent de quoi je parle.
Prends soin de toi et de tes deux petits bouts et encore merci pour ton témoignage. Tout de bon pour la suite :)
C'est très gentil à toi
C'est très gentil à toi Erulelya et ton message m'as beaucoup touchée. ça n'a pas du tout du être drôle pour toi et j'imagine qu'il t'a fallu un bonne dose de courage pour surmonter tout ça. Et pour ce qui est de la femme enceinte "belle et épanouie", je suis entièrement d'accord, on se sent rarement belle et épanouie :)
Bon courage à toi et n'hésite pas à me parler si besoin aussi ...
Bon courage à toi et n'hésite pas à me parler si besoin aussi ...
Merci Wally. Je pense que
Merci Wally.
Je pense que l'âge que l'on a à la 1ère grossesse peut aussi être un facteur d'angoisse car plus on vieillit et plus on a conscience des difficultés potentielles, et c'est vrai que la toile ne nous aide pas à relativiser. On s'imagine devoir faire face à toutes sortes de maladies, complications etc ...
Souvent je me dis que si j'avais eu mon 1er dans la vingtaine j'aurais sans doute été beaucoup plus insouciante et les seules préoccupations que j'aurais eu alors auraient été identiques au tiennes : avenir de l'enfant, capacité à faire face, etc ...
Félicitations pour tes 2 grossesses et à bientôt :)
Je pense que l'âge que l'on a à la 1ère grossesse peut aussi être un facteur d'angoisse car plus on vieillit et plus on a conscience des difficultés potentielles, et c'est vrai que la toile ne nous aide pas à relativiser. On s'imagine devoir faire face à toutes sortes de maladies, complications etc ...
Souvent je me dis que si j'avais eu mon 1er dans la vingtaine j'aurais sans doute été beaucoup plus insouciante et les seules préoccupations que j'aurais eu alors auraient été identiques au tiennes : avenir de l'enfant, capacité à faire face, etc ...
Félicitations pour tes 2 grossesses et à bientôt :)
coucou je ne suis pas
coucou
je ne suis pas septembrette mais novembrette 2010, et ma 1ère grossesse c'était en 2007.
pour être honnête, et pour te montrer que je te comprends : je vis de + en + "mal" (côté questionnements/peurs) grossesse après grossesse, alors que ça devrait être le contraire.
les raisons : trop lu d'histoires terribles ici sur le site, et j'ai fait une FC entre mon 1er et mon 2ème (et 1 "demi-FC" (1 jumeau non évolutif) au début de ma grossesse en cours) ce qui fait que je crains d'aller aux contrôles
pour la césarienne, je te comprends, c'était ma grosse crainte aussi, et j'ai eu de la chance. d'ailleurs pour mon 2ème j'ai failli avoir une césa, mais ma VB a été sauvée par les SF très expérimentées. vu que là c'est ma dernière grossesse, j'ai moins cette crainte, vu que j'ai vécu la VB, et que la césa m'embêtait surtout pour "les grossesses suivantes", mais donc voilà, si tu angoisses trop, tu peux en parler avec des SF là où tu vas accoucher
pour ce qui est de l'épisio, je ne sais pas les protocoles à Nyon, mais à HUG (Genève) c'est quand c'est vraiment nécessaire, par exemple si la fin de l'accouchement doit être instrumentalisé (forceps ou ventouse), sinon ils ne font pas d'épisio, vu qu'en plus, l'épisio n'empêche pas la déchirure... c'est sûrement partout pareil à l'heure actuelle non? (d'ailleurs accouches-tu à Nyon? je me base sur ton pseudo :)
j'ai de la chance de ne pas avoir de "maux de grossesse", mais pour ma 1ère grossesse, j'ai senti tellement tard mon bébé que j'ai eu une certaine frustration, mais pas de craintes
je sais pour les hommes et leur réaction (d'autant plus que le tien est médecin et va s'attacher "aux faits", non?) mon mari est très "t'as qu'à.." quand je parle de quelque chose qui me touche/que je crains/qui me fait souci (sur tous les sujets)
par exemple si je disais "je ne sens pas mon bébé je crains la mort in-utéro", je suppose qu'il dirait "ben t'as qu'à demander un RV chez le gynéco et on saura tout de suite" alors que moi j'attends d'entendre "je te comprends"
c'est typique Mars/Vénus tout ça :O)
voilà, alors je te souhaite une belle grossesse et que tout se passe bien!
--------
Patricia
Maman d'Elias ♥ notre 1er petit Prince, né le 7 août 2007
et de Matthias ♥ notre 2ème petit Prince, né le 18 avril 2009
Enceinte d'une petite Princesse ♥ prévue aux alentours du 23 novembre 2010
Mes liens : Profil bebe.ch avec photos et infos / Parrainage Famissimo
je ne suis pas septembrette mais novembrette 2010, et ma 1ère grossesse c'était en 2007.
pour être honnête, et pour te montrer que je te comprends : je vis de + en + "mal" (côté questionnements/peurs) grossesse après grossesse, alors que ça devrait être le contraire.
les raisons : trop lu d'histoires terribles ici sur le site, et j'ai fait une FC entre mon 1er et mon 2ème (et 1 "demi-FC" (1 jumeau non évolutif) au début de ma grossesse en cours) ce qui fait que je crains d'aller aux contrôles
pour la césarienne, je te comprends, c'était ma grosse crainte aussi, et j'ai eu de la chance. d'ailleurs pour mon 2ème j'ai failli avoir une césa, mais ma VB a été sauvée par les SF très expérimentées. vu que là c'est ma dernière grossesse, j'ai moins cette crainte, vu que j'ai vécu la VB, et que la césa m'embêtait surtout pour "les grossesses suivantes", mais donc voilà, si tu angoisses trop, tu peux en parler avec des SF là où tu vas accoucher
pour ce qui est de l'épisio, je ne sais pas les protocoles à Nyon, mais à HUG (Genève) c'est quand c'est vraiment nécessaire, par exemple si la fin de l'accouchement doit être instrumentalisé (forceps ou ventouse), sinon ils ne font pas d'épisio, vu qu'en plus, l'épisio n'empêche pas la déchirure... c'est sûrement partout pareil à l'heure actuelle non? (d'ailleurs accouches-tu à Nyon? je me base sur ton pseudo :)
j'ai de la chance de ne pas avoir de "maux de grossesse", mais pour ma 1ère grossesse, j'ai senti tellement tard mon bébé que j'ai eu une certaine frustration, mais pas de craintes
je sais pour les hommes et leur réaction (d'autant plus que le tien est médecin et va s'attacher "aux faits", non?) mon mari est très "t'as qu'à.." quand je parle de quelque chose qui me touche/que je crains/qui me fait souci (sur tous les sujets)
par exemple si je disais "je ne sens pas mon bébé je crains la mort in-utéro", je suppose qu'il dirait "ben t'as qu'à demander un RV chez le gynéco et on saura tout de suite" alors que moi j'attends d'entendre "je te comprends"
c'est typique Mars/Vénus tout ça :O)
voilà, alors je te souhaite une belle grossesse et que tout se passe bien!
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Patricia
Maman d'Elias ♥ notre 1er petit Prince, né le 7 août 2007
et de Matthias ♥ notre 2ème petit Prince, né le 18 avril 2009
Enceinte d'une petite Princesse ♥ prévue aux alentours du 23 novembre 2010
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