Ayant vécu une mauvaise expérience avec un anesthésiste de l'Hopital de Morges, et ayant enendu que nous ne serions pas les seuls, je lance un appel afin de récolter des témoignages, anonymes ou non.
Ceci dans le but de constituer un dossier et de le transmettre à la direction de cet hopital, qui se veut à la pointe dans les techniques d'accouchement et du respect de la femme et de l'enfant à naître.
Merci d'avance de mettre votre témoignage sur ce forum et/ou de me l'envoyer à xvasseur@freesurf.ch
Salutations,
Xavier Vasseur
Hopital de Morges - appel à témoins
Re: Hopital de Morges - appel à témoins
Hello, je vais en parler à une amie qui a accouché à Morges et qui a eu des problèmes lors de la pose de la péridurale.
J'ai moi, aussi accouché làs-bas, mais heureusement pour moi, c'était sans péridurale!!! (Merci jaccusi)
Bisous et à bientot
Isabelle, maman de Thierry né le 05.01.02
Complément d'info
A la lumière de certaines réponses que j'ai déjà reçues, je me permet de signaler que ma "recherche" ne se voulait pas un début de procédure pénale pour faute médicale ou quelque chose dans ce genre, mais plutôt un receuil de témoignages sur l'encardrement psychologique de la chose. Ceci dans le but de le voir s'améliorer. Cette démarche est d'ailleurs officieusement soutenue par des sages-femmes de Morges, qui sont coincées entre leur déirs / conscience et leur hierarchie. En bref, tant qu'il n'y a pas faute grave, elle ne veulent / peuvent pas dénoncer un médecin. C'est à nous de signaler ces "bavures".
Pour rappel, un extrait du récit de l'accouchement de ma femme:
"Bonjour à tous. Voilà, Quentin va sur ses 3 mois. Il est en pleine forme, il dépasse largement les courbes de taille, poids, tour de tête et mange goulûment le lait de sa mère. C'est, d'après son pédiatre, "une force de la nature", qui passe depuis peu la totalité de ses nuits; on revis.
Comment c'est passé l'accouchement ? Pas comme prévu. Nous étions allé dans une maternité reconnue pour son approche "soft" et respectueuse de la mère et de l'enfant. Pour ne pas la citer, l'hôpital de Morges (Suisse). Ma femme imaginait même, sans en faire une fixation, pouvoir accoucher dans l'eau.
Après des premières contractions dimanche matin 16 juin, et un début de travail assez lent depuis le début d'après-midi, nous avons eu la plaisir de nous balader dans les jardins de l'hôpital par la journée la plus chaude des 10 dernières années en Suisse. Vers 19h, le col commençait à se dilater, et nous sommes entrés en salle de pré travail.
La gynécologue et la sage-femme furent exceptionnelles, alors que 3 femmes devaient accoucher dans la même demi-heure à 4 heure du matin, en effectif réduit, un record.
La grosse ombre au tableau fut lanesthésiste, débarquant à 22 heures en tenant à peu près ses propos : Ğ je vais me coucher, et je nai pas lintention de me relever au milieu de la nuit pour poser une péridurale à une dame qui veut se la jouer héroïque quand ça ne fait pas mal, alors quelle va hurler pour lavoir dans pas deux heures. Parce que, faut pas rêver, accoucher, ça fait terriblement mal. Les contractions que vous avez maintenant, à côté, cest rien ğ.
Y a-t-il besoin de faire un dessin ; ma femme paniquée, ma sur médecin appelée en renfort mais impuissante face à ce crétin qui a dû courber les cours de psychologie à la faculté, la sage-femme agacée par son arrogance, la gynéco coincée entre tous. Bref, le cur gros, ma brave future mère a demandé la péridurale qui a mal marché. En fait, ses jambes ont été paralysées mais le col est resté sensible. Un bonheur ! ...."
Xavier
Pour rappel, un extrait du récit de l'accouchement de ma femme:
"Bonjour à tous. Voilà, Quentin va sur ses 3 mois. Il est en pleine forme, il dépasse largement les courbes de taille, poids, tour de tête et mange goulûment le lait de sa mère. C'est, d'après son pédiatre, "une force de la nature", qui passe depuis peu la totalité de ses nuits; on revis.
Comment c'est passé l'accouchement ? Pas comme prévu. Nous étions allé dans une maternité reconnue pour son approche "soft" et respectueuse de la mère et de l'enfant. Pour ne pas la citer, l'hôpital de Morges (Suisse). Ma femme imaginait même, sans en faire une fixation, pouvoir accoucher dans l'eau.
Après des premières contractions dimanche matin 16 juin, et un début de travail assez lent depuis le début d'après-midi, nous avons eu la plaisir de nous balader dans les jardins de l'hôpital par la journée la plus chaude des 10 dernières années en Suisse. Vers 19h, le col commençait à se dilater, et nous sommes entrés en salle de pré travail.
La gynécologue et la sage-femme furent exceptionnelles, alors que 3 femmes devaient accoucher dans la même demi-heure à 4 heure du matin, en effectif réduit, un record.
La grosse ombre au tableau fut lanesthésiste, débarquant à 22 heures en tenant à peu près ses propos : Ğ je vais me coucher, et je nai pas lintention de me relever au milieu de la nuit pour poser une péridurale à une dame qui veut se la jouer héroïque quand ça ne fait pas mal, alors quelle va hurler pour lavoir dans pas deux heures. Parce que, faut pas rêver, accoucher, ça fait terriblement mal. Les contractions que vous avez maintenant, à côté, cest rien ğ.
Y a-t-il besoin de faire un dessin ; ma femme paniquée, ma sur médecin appelée en renfort mais impuissante face à ce crétin qui a dû courber les cours de psychologie à la faculté, la sage-femme agacée par son arrogance, la gynéco coincée entre tous. Bref, le cur gros, ma brave future mère a demandé la péridurale qui a mal marché. En fait, ses jambes ont été paralysées mais le col est resté sensible. Un bonheur ! ...."
Xavier