n'emputez pas ma sexualité!! episiotomie
n'emputez pas ma sexualité!! episiotomie
Voici ce que je viens de trouver sur le net et qui me fait largement réflèchir....!!!
Pour moi il est trop tard, mais pour celles qui n'ont pas encore accouché il est encore temps d'en parler a vos gyné et de choisir votre accouchement!!!
La page du site:
http://cybersolidaires.typepad.com/ameriques/2004/06/pisiotomie_ques.html
« Violence contre les femmes dans les Amériques : un cri d'alarme | Accueil | L'épisiotomie, une mutilation génitale? »
08.06.2004
Épisiotomie : questionner, informer, agir
États des lieux : le Québec et ailleurs
Selon les dernières statistiques (2000-01), on pratique en moyenne au Québec des épisiotomies lors de 30,1% des accouchements vaginaux. Une nette évolution : il y a 15 ans, c'était 70%. Cependant, il faut prendre en compte que l'épisiotomie est pratiquée davantage au premier accouchement, ce qui veut dire que beaucoup plus du tiers des femmes ayant accouché vaginalement ont subi une épisiotomie dans leur vie.
En France, le taux d'épisiotomies est de 53,7%, dont 71,3% pour les femmes primipares, et jusqu'à 90% dans certaines maternités. Dans ces proportions, il semble évident que cet acte n'est pas posé pour des raisons précises concernant la femme qui enfante, mais doit être considéré comme un geste systématique dénué de toute réflexion et de remise en question. Au Royaume-Uni, le taux d'épisiotomie a chuté de 52% à 13% après les campagnes menées par des associations d'usagères des services obstétricaux comme l'AIMS (Association pour l'amélioration des services en maternité). En Suède, il n'est que de 6%. Il tombe à une valeur insignifiante dans la pratique des médecins ou sages-femmes informés par les données scientifiques qui ne justifient pas le recours fréquent à cette intervention.
Définition
L'épisiotomie est l'incision volontaire du périnée de la femme en train d'accoucher, coupant la peau, la muqueuse, des nerfs appartenant à la structure clitoridienne et une partie des muscles qui entourent la vulve et le vagin. Il s'agit d'un acte chirurgical pouvant être posé par les médecins et les sages-femmes lors d'un accouchement.
La logique obstétricale
L'épisiotomie est encore souvent présentée comme un acte nécessaire alors que de nombreuses études scientifiques démontrent le contraire. Pourtant, l'épisiotomie est classée par l'Organisation mondiale de la santé dans les "pratiques fréquemment utilisées à tort". Lors de l'accouchement normal, les femmes ne sont pas souvent informés de cet acte avant son exécution, par crainte d'une réaction de peur ou de refus spontanée. Ce n'est qu'une fois réalisé qu'il est éventuellement expliqué, mettant souvent en avant la santé voire la survie de l'enfant. Les raisons invoquées pour justifier l'épisiotomie sont en premier lieu l'accélération de l'expulsion foetale et l'utilisation d'instruments tels que ventouses ou forceps. En second lieu, l'argument est d'éviter une déchirure, supposée potentiellement plus importante que la coupure volontaire.
Les effets
L'épisiotomie nécessite une suture importante qui entraîne des douleurs locales et des inconforts durant plusieurs jours. Cette suture peut aussi "lâcher", et ainsi créer une plaie qui pourrait s'infecter. Cela pourrait même entrainer une seconde intervention pour réparer le tort causé par la première.
Une association qui n'a pas peur d'en parler : l'AFAR
L'Alliance francophone pour l'accouchement respecté (AFAR), association de défense des usagères en périnatalité, entend entre autres dénoncer les abus de l'épisiotomie en informant autant les femmes, les hommes que les professionnel-les sur les alternatives possibles. Elle a développé un argumentaire détaillé à partir du recensement de près de 70 études prouvant que l'épisiotomie de routine n'est pas justifiée médicalement.
On y explique notamment, preuves à l'appui, que les causes des déchirures périnéales que l'épisiotomie prétend éviter sont à rechercher dans les procédures obstétricales : position d'accouchement imposée, poussées dirigées, usage quasi systématique de stimulants des contractions (Syntocinon), etc. En examinant l'épisiotomie, on peut ainsi remonter toute une chaîne d'interventions abusives justifiées uniquement par la crainte du médico-légal. Une crainte qui se réduit à la peur de "ne pas en faire assez".
À l'inverse de cette manière de faire, la pratique médicale factuelle ("evidence based"), qui s'appuie sur des études systématiques des conséquences des gestes obstétricaux, est la seule qui puisse faire évoluer les protocoles. Mais il faut aussi que les parents s'informent, se préparent, connaissent leurs droits et dialoguent avec les professionnel-les, qui ont de la difficulté à changer des habitudes et des croyances ancrées depuis bien des années.
Outils pour les parents
Pour éviter de subir cet acte très souvent inutile, le meilleur moyen est d'en prévoir l'éventualité dans un plan de naissance.
Un certain nombre de personnes réagissent vivement à la vue des photos d'épisiotomies... Or, souvent c'est par des photos qu'on en arrive à comprendre que l'acte n'a rien de bénin et qu'il ne doit en aucun cas faire partie de la "routine" des praticien-nes. Dans les Dossiers de l'Obstétrique, revue professionnelle des sages-femmes (juin 2001), Farida Hammani dénonce la pratique de l'épisiotomie comme une "mutilation génitale".
Rappelons que le Code civil québécois stipule, dans ses premiers articles, que "Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Sauf dans les cas prévus par la loi, nul ne peut lui porter atteinte sans son consentement libre et éclairé". "Nul ne peut être soumis sans son consentement à des soins, quelle qu'en soit la nature, qu'il s'agisse d'examens, de prélèvements, de traitements ou de toute autre intervention." "En cas d'urgence, le consentement aux soins médicaux […] est toutefois nécessaire lorsque les soins sont inusités ou devenus inutiles ou que leurs conséquences pourraient être intolérables pour la personne."
À noter qu'en mai 2004 avait lieu la toute première Semaine mondiale de l'accouchement respecté (SMAR), dont un des thèmes était "Épisiotomie: lever le voile...". Une initiative de l'AFAR.
Texte adapté de Episiotomie : témoigner, informer, dénoncer, agir... par Stéphanie St-Amant pour l'AFAR
Pages reliées :
Episiotomie.info
perinatalite.info
Un acte chirurgical inutile, douloureux, mutilatoire (pdf), AFAR
Pour moi il est trop tard, mais pour celles qui n'ont pas encore accouché il est encore temps d'en parler a vos gyné et de choisir votre accouchement!!!
La page du site:
http://cybersolidaires.typepad.com/ameriques/2004/06/pisiotomie_ques.html
« Violence contre les femmes dans les Amériques : un cri d'alarme | Accueil | L'épisiotomie, une mutilation génitale? »
08.06.2004
Épisiotomie : questionner, informer, agir
États des lieux : le Québec et ailleurs
Selon les dernières statistiques (2000-01), on pratique en moyenne au Québec des épisiotomies lors de 30,1% des accouchements vaginaux. Une nette évolution : il y a 15 ans, c'était 70%. Cependant, il faut prendre en compte que l'épisiotomie est pratiquée davantage au premier accouchement, ce qui veut dire que beaucoup plus du tiers des femmes ayant accouché vaginalement ont subi une épisiotomie dans leur vie.
En France, le taux d'épisiotomies est de 53,7%, dont 71,3% pour les femmes primipares, et jusqu'à 90% dans certaines maternités. Dans ces proportions, il semble évident que cet acte n'est pas posé pour des raisons précises concernant la femme qui enfante, mais doit être considéré comme un geste systématique dénué de toute réflexion et de remise en question. Au Royaume-Uni, le taux d'épisiotomie a chuté de 52% à 13% après les campagnes menées par des associations d'usagères des services obstétricaux comme l'AIMS (Association pour l'amélioration des services en maternité). En Suède, il n'est que de 6%. Il tombe à une valeur insignifiante dans la pratique des médecins ou sages-femmes informés par les données scientifiques qui ne justifient pas le recours fréquent à cette intervention.
Définition
L'épisiotomie est l'incision volontaire du périnée de la femme en train d'accoucher, coupant la peau, la muqueuse, des nerfs appartenant à la structure clitoridienne et une partie des muscles qui entourent la vulve et le vagin. Il s'agit d'un acte chirurgical pouvant être posé par les médecins et les sages-femmes lors d'un accouchement.
La logique obstétricale
L'épisiotomie est encore souvent présentée comme un acte nécessaire alors que de nombreuses études scientifiques démontrent le contraire. Pourtant, l'épisiotomie est classée par l'Organisation mondiale de la santé dans les "pratiques fréquemment utilisées à tort". Lors de l'accouchement normal, les femmes ne sont pas souvent informés de cet acte avant son exécution, par crainte d'une réaction de peur ou de refus spontanée. Ce n'est qu'une fois réalisé qu'il est éventuellement expliqué, mettant souvent en avant la santé voire la survie de l'enfant. Les raisons invoquées pour justifier l'épisiotomie sont en premier lieu l'accélération de l'expulsion foetale et l'utilisation d'instruments tels que ventouses ou forceps. En second lieu, l'argument est d'éviter une déchirure, supposée potentiellement plus importante que la coupure volontaire.
Les effets
L'épisiotomie nécessite une suture importante qui entraîne des douleurs locales et des inconforts durant plusieurs jours. Cette suture peut aussi "lâcher", et ainsi créer une plaie qui pourrait s'infecter. Cela pourrait même entrainer une seconde intervention pour réparer le tort causé par la première.
Une association qui n'a pas peur d'en parler : l'AFAR
L'Alliance francophone pour l'accouchement respecté (AFAR), association de défense des usagères en périnatalité, entend entre autres dénoncer les abus de l'épisiotomie en informant autant les femmes, les hommes que les professionnel-les sur les alternatives possibles. Elle a développé un argumentaire détaillé à partir du recensement de près de 70 études prouvant que l'épisiotomie de routine n'est pas justifiée médicalement.
On y explique notamment, preuves à l'appui, que les causes des déchirures périnéales que l'épisiotomie prétend éviter sont à rechercher dans les procédures obstétricales : position d'accouchement imposée, poussées dirigées, usage quasi systématique de stimulants des contractions (Syntocinon), etc. En examinant l'épisiotomie, on peut ainsi remonter toute une chaîne d'interventions abusives justifiées uniquement par la crainte du médico-légal. Une crainte qui se réduit à la peur de "ne pas en faire assez".
À l'inverse de cette manière de faire, la pratique médicale factuelle ("evidence based"), qui s'appuie sur des études systématiques des conséquences des gestes obstétricaux, est la seule qui puisse faire évoluer les protocoles. Mais il faut aussi que les parents s'informent, se préparent, connaissent leurs droits et dialoguent avec les professionnel-les, qui ont de la difficulté à changer des habitudes et des croyances ancrées depuis bien des années.
Outils pour les parents
Pour éviter de subir cet acte très souvent inutile, le meilleur moyen est d'en prévoir l'éventualité dans un plan de naissance.
Un certain nombre de personnes réagissent vivement à la vue des photos d'épisiotomies... Or, souvent c'est par des photos qu'on en arrive à comprendre que l'acte n'a rien de bénin et qu'il ne doit en aucun cas faire partie de la "routine" des praticien-nes. Dans les Dossiers de l'Obstétrique, revue professionnelle des sages-femmes (juin 2001), Farida Hammani dénonce la pratique de l'épisiotomie comme une "mutilation génitale".
Rappelons que le Code civil québécois stipule, dans ses premiers articles, que "Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Sauf dans les cas prévus par la loi, nul ne peut lui porter atteinte sans son consentement libre et éclairé". "Nul ne peut être soumis sans son consentement à des soins, quelle qu'en soit la nature, qu'il s'agisse d'examens, de prélèvements, de traitements ou de toute autre intervention." "En cas d'urgence, le consentement aux soins médicaux […] est toutefois nécessaire lorsque les soins sont inusités ou devenus inutiles ou que leurs conséquences pourraient être intolérables pour la personne."
À noter qu'en mai 2004 avait lieu la toute première Semaine mondiale de l'accouchement respecté (SMAR), dont un des thèmes était "Épisiotomie: lever le voile...". Une initiative de l'AFAR.
Texte adapté de Episiotomie : témoigner, informer, dénoncer, agir... par Stéphanie St-Amant pour l'AFAR
Pages reliées :
Episiotomie.info
perinatalite.info
Un acte chirurgical inutile, douloureux, mutilatoire (pdf), AFAR
il y a encore ça...
www.afar.info
accueil | base de données | SMAR | statuts
Semaine Mondiale pour l'Accouchement Respecté
SMAR - 10 au 16 mai 2004
Episiotomie : lever le voile...
Objectifs :
stimuler la prise de conscience par tous que l'épisiotomie prophylactique est un acte inutile, douloureux, et mutilatoire ;
que le déclenchement, l'immobilisation en position couchée, la péridurale, les ocytocines, les poussées dirigées et l'extraction par forceps sont les causes principales des déchirures graves que l'épisiotomie est supposée prévenir ; prévention qui s'avère contreproductive, selon toutes les études statistiques ;
encourager les femmes, les couples, les professionnels de santé à franchir un pas de plus que la simple remise en question : refuser ce geste ; encourager le choix de la position par la femme lors de l'accouchement ; encourager la femme, le couple, à consigner leurs voeux dans un projet de naissance ;
informer via la base de données de l'AFAR des nombreuses études expliquant les conséquences de cet acte et son inutilité démontrée ;
impliquer les femmes dans le refus qu'elles peuvent manifester (cf. loi etc.) ;
prise de conscience de l'enjeu juridique.
--------------
la suite:
http://www.fraternet.org/afar/smar2004.htm
--------------
Je t'aime mon coeur...!!!!
accueil | base de données | SMAR | statuts
Semaine Mondiale pour l'Accouchement Respecté
SMAR - 10 au 16 mai 2004
Episiotomie : lever le voile...
Objectifs :
stimuler la prise de conscience par tous que l'épisiotomie prophylactique est un acte inutile, douloureux, et mutilatoire ;
que le déclenchement, l'immobilisation en position couchée, la péridurale, les ocytocines, les poussées dirigées et l'extraction par forceps sont les causes principales des déchirures graves que l'épisiotomie est supposée prévenir ; prévention qui s'avère contreproductive, selon toutes les études statistiques ;
encourager les femmes, les couples, les professionnels de santé à franchir un pas de plus que la simple remise en question : refuser ce geste ; encourager le choix de la position par la femme lors de l'accouchement ; encourager la femme, le couple, à consigner leurs voeux dans un projet de naissance ;
informer via la base de données de l'AFAR des nombreuses études expliquant les conséquences de cet acte et son inutilité démontrée ;
impliquer les femmes dans le refus qu'elles peuvent manifester (cf. loi etc.) ;
prise de conscience de l'enjeu juridique.
--------------
la suite:
http://www.fraternet.org/afar/smar2004.htm
--------------
Je t'aime mon coeur...!!!!
Intolérable
Bonjour
Je vous remercie énorméemnt pour le thème que vous abordez aujourdhui et qui est devenu presque tabou chez beaucoup de femmes qui ont accouchés déja.
Il ne faut pas avoir peur de dire non,non à ce que les autres décident pour moi.mon propre avis est qu'on veut rendre de l'accouchement un acte medical hors que c'est un acte naturel.moi personnellement j'attends mon premier bébé pour fin mai inchallah,et dés que je suis tombé enceinte c'était vraiment claire dans ma tête ,je ne veux pas d'épisiotomie même exclue,je ne veux pas de pratiques inhumains :forceps;ventouses.
j'en ai même informé mon mari que le jour j c'était à lui d'intervenir et c'est comme ca que je saurai qu'il m'aimait vraiment,je lui ai clairement dis qu'il devait me soutenir dans mes décisions et qu'on aucun cas ils ne les laisseraient me faire une épisiotomie.quand je lui ai dis qu'on coupait avec un ciseau il a été choqué,j'aimerai que toutes les femmes commprennemt quelque chose ,c'est pas au medecin ni à la sage femme de vous dire la position dans la qu'elle vous devez accouchez ,c'est votre accouchement et non celui de la sage femme ,rappelez vous que c'est votre corps ,c'est votre santé ,et quand on vous coup je suis sure qu'eux même n'accepterez pas ca pour leurs femmes ni pour eux mêmes.
on dis toujours c'est pour éviter la souffrance du bébé,non dire plutôt c'est pour éviter qu'ils se fatiguent trop c'est tout.j'aimerai que toutes les femmes commprennent qu'elles peuvent dire non et ca c'est trés important.
Croyez moi y'a beaucoup de femmes qui en souffre aujourdhui,qui se font réopérer juste pour ca ,leurs vie est devenue un cauchemard.
plutôt un déchirure qu'une épisiotomie.et chaque à son opinion,moi voila mon opinion.
Merci
Je vous remercie énorméemnt pour le thème que vous abordez aujourdhui et qui est devenu presque tabou chez beaucoup de femmes qui ont accouchés déja.
Il ne faut pas avoir peur de dire non,non à ce que les autres décident pour moi.mon propre avis est qu'on veut rendre de l'accouchement un acte medical hors que c'est un acte naturel.moi personnellement j'attends mon premier bébé pour fin mai inchallah,et dés que je suis tombé enceinte c'était vraiment claire dans ma tête ,je ne veux pas d'épisiotomie même exclue,je ne veux pas de pratiques inhumains :forceps;ventouses.
j'en ai même informé mon mari que le jour j c'était à lui d'intervenir et c'est comme ca que je saurai qu'il m'aimait vraiment,je lui ai clairement dis qu'il devait me soutenir dans mes décisions et qu'on aucun cas ils ne les laisseraient me faire une épisiotomie.quand je lui ai dis qu'on coupait avec un ciseau il a été choqué,j'aimerai que toutes les femmes commprennemt quelque chose ,c'est pas au medecin ni à la sage femme de vous dire la position dans la qu'elle vous devez accouchez ,c'est votre accouchement et non celui de la sage femme ,rappelez vous que c'est votre corps ,c'est votre santé ,et quand on vous coup je suis sure qu'eux même n'accepterez pas ca pour leurs femmes ni pour eux mêmes.
on dis toujours c'est pour éviter la souffrance du bébé,non dire plutôt c'est pour éviter qu'ils se fatiguent trop c'est tout.j'aimerai que toutes les femmes commprennent qu'elles peuvent dire non et ca c'est trés important.
Croyez moi y'a beaucoup de femmes qui en souffre aujourdhui,qui se font réopérer juste pour ca ,leurs vie est devenue un cauchemard.
plutôt un déchirure qu'une épisiotomie.et chaque à son opinion,moi voila mon opinion.
Merci
Bonjour, juste un petit mot,
Bonjour, juste un petit mot, sans vous froisser pour vous dire quand effet, si vous avez le choix et pouvez éviter l'épisio temps mieux... Mais attention, une déchirure peut être beaucoup plus douloureuse... J'ai une amie qui l'a vécu au mois de juin 2006 et je vous assure qu'actuellement se ne sont pas des "petites douleurs" qu'elle ressens pendant les rapports... J'vais aussi aller faire un tour sur le lien histoire de m'informer. Bonne journée.
Patricia, heureuse maman d'un adorable petit Alexis.
Patricia, heureuse maman d'un adorable petit Alexis.
inversément
Inversément, je n'ai eu aucun souci avec l'épisio, je la préférai (en pensée) à une déchirure. La suture est nette et je n'ai aucun problème d'ordre médical ou sexuel. Je crois qu'il ne faut pas tout diaboliser. Ma grand-mère m'a raconté qu'à son époque on ne recousait pas les déchirures.... alors je préfère largement mon épisiotomie, je n'ai pas l'impression d'être mutilée.
Même si on ne m'a rien demandé avant, je ne la regrette donc pas.
Même si on ne m'a rien demandé avant, je ne la regrette donc pas.
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- Messages : 1024
- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:28 am
Ben moi j'ai dit à la
Ben moi j'ai dit à la sage-femme que je ne voulais pas d'épisiotomie, mais le médecin qui m'accouchait voulait absolument en faire une, jusqu'à la dernière minute. Eh bien, la sage-femme a tenu tête à son supérieur et je m'en suis sortie sur une mini déchirure, ce qui était mieux qu'une grosse épisiotomie. Dommage que cette pratique soit aussi répandue! Il y a des cas qui ne nécéssitent pas une telle opération!
c'est facile à dire tout ca
c'est facile à dire tout ca hors contexte. car quand on est en train d'accoucher, on ne la mène pas large et on veut que ce bébé SORTE!!! moi je ne voulais pas trop d'épisiotomie, je disais à la sage-femme que j'en avais peur et tout. et puis c'est vrai que je préférais de toute façon une épisio à une déchirure.
et puis non plus je ne me sens pas du tout mutilée. il ne faut pas diaboliser. avec tout ca on fait peur au futures mamans qui vont accoucher.
Mouchette
et puis non plus je ne me sens pas du tout mutilée. il ne faut pas diaboliser. avec tout ca on fait peur au futures mamans qui vont accoucher.
Mouchette
Eh bien pour avoir eu droit
Eh bien pour avoir eu droit au 2, 1x épisio et 2x déchirure, je peux dire que j'ai une nette préférence pour la déchirure. J'ai eu moins longtemps mal et beaucoup plus de facilité à m'en remettre. bon il est vrai que mon épisio s'est doublée d'une déchirure, mais je pense que si il n'y a pas d'indication médicale telle qu'une ventouse ou des forceps, mieux vaut laisser faire la nature...
Sylvie, maman de Yannis , Elias, Selma et dans l'attente d'un 4ème trésor pour août 2007.
Sylvie, maman de Yannis , Elias, Selma et dans l'attente d'un 4ème trésor pour août 2007.
Oh ben moi j'ai eu le droit
Oh ben moi j'ai eu le droit à la ventouse et aux forceps... et le tout, sans épisio!!! résultat, une méga déchirure... ben franchement, je ne sais pas ce qui est mieux : une méga déchirure ou une épisio!!!
Je pense que la gygy qui m'a accouché devait être de celle qui sont contre l'épisio car quand je lui ai demandé si l'épisio était grande (après avoir eu les forceps) elle m'a répondu qu'elle ne faisait pas les épisio et qu'elle préférait les déchirures... et même avec ventouse et forceps! J'aurai quand même voulu pouvoir choisir... mais bon, on ne refait pas son accouchement!
sonia
Je pense que la gygy qui m'a accouché devait être de celle qui sont contre l'épisio car quand je lui ai demandé si l'épisio était grande (après avoir eu les forceps) elle m'a répondu qu'elle ne faisait pas les épisio et qu'elle préférait les déchirures... et même avec ventouse et forceps! J'aurai quand même voulu pouvoir choisir... mais bon, on ne refait pas son accouchement!
sonia
Hello.
J'ai personnellement accouché par voie basse, il y a maintenant un peu plus de deux ans, à l'hôpital de Nyon. J'ai eu une épisiotomie. Avec des ciseaux, faite par la sage-femme elle-même. J'ai même eu le droit à une sage-femme qui se mettait couchée sur moi pour m'aider à expulser ma fille. Et bien je ne garde pas un mauvais souvenir du tout de mon accouchement ! J'ai pourtant passé persque 12heures en salle de travail. Et avant ça j'avais passé 12heures à la maison à avoir des contractions, si ce n'est pas plus longtemps ! J'ai eu une péridurale, qui n'a pas pu m'être réadministrée tout de suite sur la fin. Cause : du sang remontait dans le catheter, et l'anesthésite était le seul dans ce cas à nettoyer le tuyau et à réinjecter le produit. Seul hic, il était coincé sur une opération... Elles m'ont percées la poche des eaux, à 18h07 et je peux vous dire que là j'ai eu mal... Quand enfin on a pu me remettre une dose, tout est parti quasiment dans les jambes... Je ne sentais rien si ce n'est dans le haut du ventre, je ressentais les contractions, et j'ai pu poussé. Je n'ai pas eu droit ni aux ventouses, ni aux forceps.
Lorsque j'ai vu la sage femme avec son ciseau et que j'ai entendu le ciseau j'ai compris, mais de toute façon je poussais et je voulais que ma fille sorte enfin !! 20h22, ouf elle était là.
C'est une gynéco qui m'a recousu. Elle a pris tout son temps, enfin à moi ça m'a paru une éternité ! Je lui ai même demandé à un moment si tout allait bien, car je trouvais ça terriblement long ! Elle m'a dit "Vous savez il y a plusieurs couches de chairs, donc c'est long, c'est un travail minutieux".
Résultat, le lendemain matin à 8h00 j'étais assise sur mon lit, sans aucune douleur. Et j'avais accouché 12heures seulement auparavant. Lorsque la SF est rentrée elle était sidérée... Elle a tenu à m'ausculter de suite parce qu'elle arrivait pas à croire que j'ai pas mal et pas de sensations désagréables !!
Je n'ai jamais eu mal par la suite, ça m'a juste un peu tirée certains jours lorsque je me baissais. Lorsqu'on a repris les "exercices pratiques" avec mon mari je n'ai pas vraiment eu mal, j'avais juste la sensation que j'étais plus "étroite", comme si le vagin était resseré. En plus j'allaitais encore alors forcément un lubrifiant était de mise. A présent tout va très bien. Et j'attends bb2.
Je pense que différents facteurs entrent en ligne de compte. Je ne sais absolument pas si mon épisio était justifiée, elle était faite et c'est tout. Je n'ai même pas posé la question. Mais je préférais cela à une déchirure qui se remettrait mal.
Je pense que c'est peut-être fait trop souvent, ça c'est vrai. Mais si on est bien recousu, que le médecin prend son temps, je pense que ça doit aider aussi. Sinon certaines femmes cicatrisent peut-être mieux aussi. On a pas toute le même seuil de douleur, ni la même capacité de cicatrisation. Mais je suis d'accord sur le fait que cela semble être un acte fait trop souvent. Maintenant tomber sur un gygy qui refuse de le faire, ça c'est vraiment pas un cadeau. Si c'est vraiment nécessaire, pourquoi le refuser à la femme, si après elle sera mieux soigner qu'une déchirure. On ne peut pas savoir comme la déchirure se fera, ni comment elle sera soignée. Une épisio ça se dose. Maintenant il y a des bouchers partout...
Courage à toute.
bises
Nenette
Lorsque j'ai vu la sage femme avec son ciseau et que j'ai entendu le ciseau j'ai compris, mais de toute façon je poussais et je voulais que ma fille sorte enfin !! 20h22, ouf elle était là.
C'est une gynéco qui m'a recousu. Elle a pris tout son temps, enfin à moi ça m'a paru une éternité ! Je lui ai même demandé à un moment si tout allait bien, car je trouvais ça terriblement long ! Elle m'a dit "Vous savez il y a plusieurs couches de chairs, donc c'est long, c'est un travail minutieux".
Résultat, le lendemain matin à 8h00 j'étais assise sur mon lit, sans aucune douleur. Et j'avais accouché 12heures seulement auparavant. Lorsque la SF est rentrée elle était sidérée... Elle a tenu à m'ausculter de suite parce qu'elle arrivait pas à croire que j'ai pas mal et pas de sensations désagréables !!
Je n'ai jamais eu mal par la suite, ça m'a juste un peu tirée certains jours lorsque je me baissais. Lorsqu'on a repris les "exercices pratiques" avec mon mari je n'ai pas vraiment eu mal, j'avais juste la sensation que j'étais plus "étroite", comme si le vagin était resseré. En plus j'allaitais encore alors forcément un lubrifiant était de mise. A présent tout va très bien. Et j'attends bb2.
Je pense que différents facteurs entrent en ligne de compte. Je ne sais absolument pas si mon épisio était justifiée, elle était faite et c'est tout. Je n'ai même pas posé la question. Mais je préférais cela à une déchirure qui se remettrait mal.
Je pense que c'est peut-être fait trop souvent, ça c'est vrai. Mais si on est bien recousu, que le médecin prend son temps, je pense que ça doit aider aussi. Sinon certaines femmes cicatrisent peut-être mieux aussi. On a pas toute le même seuil de douleur, ni la même capacité de cicatrisation. Mais je suis d'accord sur le fait que cela semble être un acte fait trop souvent. Maintenant tomber sur un gygy qui refuse de le faire, ça c'est vraiment pas un cadeau. Si c'est vraiment nécessaire, pourquoi le refuser à la femme, si après elle sera mieux soigner qu'une déchirure. On ne peut pas savoir comme la déchirure se fera, ni comment elle sera soignée. Une épisio ça se dose. Maintenant il y a des bouchers partout...
Courage à toute.
bises
Nenette
Expérience d'épisio positive!
J'ai accouché voilà bientôt une année par voie basse avec ventouse et episio. Tout va bien aujourd'hui et je suis bien contente que tout ce soit passé ainsi! Après plus de deux heures de poussées sans résultats, ma fille devait naître dans les plus brefs délais. Malheureusement, il était clair qu'il nous faudrait un peu d'aide. Une décision devait donc être prise. Il s'en est suivie une discussion avec les médecins sur place et une analyse de mon périnée pour déterminer les chances que j'avais d'avoir une déchirure ou pas en accouchant sans aide. Il s'est avéré que la déchirure serait inevitable, on est donc parti sur la solution de la ventouse avec episio. Et notre petit trésor était là 5 minutes plus tard :-)!! Nous n'avons pas été mis à l'écart de la discussion et les solutions nous étaient très claires. Il fallait être efficace, et malgé tout ils nous ont très bien soutenus et expliqué! Et par la suite également, la souture a pris pas mal de temps, mais on m'a expliqué les différents niveaux à recoudre et fait des piqures pour que je ne sente rien. Ensuite on m'a très bien controlée à l'hopital pour voir que la cicatrice soit belle etc... Je suis un peu sensible et j'avais peur du résultat alors je demandais qu'on regarde si tout allait bien plusieurs fois par jours!!! L'endroit est resté sensible environ deux semaines, nous reprenions les exercices 6 semaines après l'accouchement. Seul le premier rapport a été un peu douloureux!
Je n'avais pas d'apriori, maintenant je suis pour :-)!!! Mais ça ne doit pas toujours être la solution qui s'impose!!!
Bonne journée
Nenu
Je n'avais pas d'apriori, maintenant je suis pour :-)!!! Mais ça ne doit pas toujours être la solution qui s'impose!!!
Bonne journée
Nenu
J'ai eu une épisio pour
J'ai eu une épisio pour mon fiston, sorti à la ventouse. Deux ans plus tard, pour ma fille qui avait une grosse tête ronde, j'avais envie de crier à la sage-femme: coupez! Elle ne l'a pas fait et franchement, je me suis remise nettement plus vite de la déchirure...
@nenu et nenette76
Merci merci merci pour ces témoignages positifs qui rassurent les futures mamans, enfin moi en tout cas!
Je vais quand même en parler à mon gynéco lors de mon prochain rdv (histoire d'être rassurée encore un peu plus), mais en général j'ai assez confiance dans le corps médical
Je vais essayer d'oublier tous les témoignages négatifs que j'ai entendu et ne me rappler que des votres :-)
Bonne soirée...
Je vais quand même en parler à mon gynéco lors de mon prochain rdv (histoire d'être rassurée encore un peu plus), mais en général j'ai assez confiance dans le corps médical
Je vais essayer d'oublier tous les témoignages négatifs que j'ai entendu et ne me rappler que des votres :-)
Bonne soirée...
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- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:30 am
alors
je pense avoir eu de la chance... Ma fille a été sortie à la ventouse mais le gyné n'a pas fait d'épiso. J'ai juste eu une toute petite déchirure (3 pt). Je m'en suis remise très vite. Dès 48h après, cela ne me faisait plus mal.
J'avais pratiqué le massage du périnée en préparation, peut-être que ça a un peu aidé ???
J'avais pratiqué le massage du périnée en préparation, peut-être que ça a un peu aidé ???
J'ai également eu droit à l'épiso
et franchement je préfère ça à la souffrance que 3 ans ma collègue vit encore suite à une déchirure. Elle en souffre constament, wc, rapport, assise debout, elle la sens en résumé 24h/24h et 7j/7j.
Perso mon gygy m'a pas demandé mon avis et il a coupé car ventouse mais il a pris son temps pour me recoudre les couches coupées et selon mon ex-mari à ce moment c'était de la haute couture (30 minutes pour recoudre). J'ai eu mal le 1er jour et les 3 jours après j'avais de la peine à m'assoir mais c'était tout a fait supportable.
19 mois après mon accouchement je n'ai aucune douleur, aucune gêne et aucun problème lors des rapports.
Je pense que si l'épisio est pratiquée c'est quelle est bcp moins douloureuse qu'une déchirure à mon avis et que les médecins, sage-femme, gygy savent ce qu'ils font.
Le choix appartient à chacun et je respect ceux et celle qui sont contre.
Perso mon gygy m'a pas demandé mon avis et il a coupé car ventouse mais il a pris son temps pour me recoudre les couches coupées et selon mon ex-mari à ce moment c'était de la haute couture (30 minutes pour recoudre). J'ai eu mal le 1er jour et les 3 jours après j'avais de la peine à m'assoir mais c'était tout a fait supportable.
19 mois après mon accouchement je n'ai aucune douleur, aucune gêne et aucun problème lors des rapports.
Je pense que si l'épisio est pratiquée c'est quelle est bcp moins douloureuse qu'une déchirure à mon avis et que les médecins, sage-femme, gygy savent ce qu'ils font.
Le choix appartient à chacun et je respect ceux et celle qui sont contre.
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- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:34 am
coucou voilà bientôt 2 ans
coucou voilà bientôt 2 ans que j'ai accoucher et mon épiso me fais beaucoup souffrir et pire depuis que je suis fin grossesse. Gygy ma dit que c'était pas normal mais qu'avec mon 2ème accouchement ça aller s'arranger car il peuvent me la refaire ou elle vas ce détendre bref j'ai plus peur de l'épiso que de l'accouchement pourtant pour ma fille très long accouchement.Mon amie eu une déchirure et le lendemain ce porter dix fois mieux que moi!!!!Mais je pense que ca dépend aussi de notre peau et de notre cicatrisation!!!Moi mon épiso c'est rouverte le lendemain est gygy a préférer la laisser ce refermer part elle meme donc j'ai attraper 2 infection je pense que ça a pas aider!!!Bref chaque personne réagie différament!!!
bisous
bisous
dans les regles de l'art!!!
Je pense que si les gygy ou sage femmes prenaient les temps de faire les choses comme il faut, il y aurait certainement moins de problèmes de déchirures et moins besoin d'épisio!!!
Bien sur il reste toujours quelques cas difficiles voici un lien pour voir un accouchement sans déchirure ni épisio!!
C'est très bien expliqué!!
Attention, c'est en image!! Ame sensible ou femmes enceintes s'abstenir....
Lien "Réalisation de l'accouchement"
Je t'aime mon coeur...!!!!
Bien sur il reste toujours quelques cas difficiles voici un lien pour voir un accouchement sans déchirure ni épisio!!
C'est très bien expliqué!!
Attention, c'est en image!! Ame sensible ou femmes enceintes s'abstenir....
Lien "Réalisation de l'accouchement"
Je t'aime mon coeur...!!!!