Vaccins: pour ou contre ?
re: Vaccins: pour ou contre ?
Hello Anyna, permets moi de te dire que tu es mal renseignée. Ce ne sont pas les vaccins qui ont fait disparître certaines maladies, mais la qualité de vie et l'hygiène. Pour ce qui est de l'obligation de vacciner, heureusement que ce ne l'est pas. Je crois que chacun doit être libre. Et de quoi as-tu peur, tu as fait vacciner tes enfants donc ils ne risquent "rien". En Hollande où aucun vaccin n'est obligatoire, il y a énormément moins de problème de santé qu'en France où tous les vaccins sont obligatoires.
Je te donne un conseil, ne fais pas vacciner tes enfants contre l'hépatite B, ce vaccin a des effets secondnaires retards énormes. Ils l'ont interdit en France après avoir découvert plusieurs cas de scléroses en plaques.
Delphine maman de Julie 14.08.04
Je te donne un conseil, ne fais pas vacciner tes enfants contre l'hépatite B, ce vaccin a des effets secondnaires retards énormes. Ils l'ont interdit en France après avoir découvert plusieurs cas de scléroses en plaques.
Delphine maman de Julie 14.08.04
re: Vaccins: pour ou contre ?
Mon fils sera vacciné contre l'hépatite B son adolescence. N'oublie pas non plus que trop d'hygiène est nocif et au contraire de tes dires, affaiblit nos défenses naturelles. Je ne dis pas de vivre dans la crasse mais juste de ne pas tout stériliser tout le temps autour de l'enfant.
Anyna (25.02.1983)
Maman d'Alexandre (09.07.2004)
Anyna (25.02.1983)
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re: Vaccins: pour ou contre ?
Ps: Je ne suis pas Française mais Suisse.
Anyna (25.02.1983)
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Anyna (25.02.1983)
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re: Vaccins: pour ou contre ?
La question est d'actu, est a son importance... Tout le monde se pose un jour la question pour son enfant: vaccin ou pas vaccin ?
Je crois qu'il n'y a pas une réponse absolue, et c'est à chacun de décider . Cela dépend du mode de vie de la famille , et de l'enfant: va-t-il à la crèche (si oui, il faut mieux le vacciner, car il sera en contact avec d'autres enfants qui peuvent être malades), mange-t-il sainement (si vous l'habituez au Mac Do, il faut mieux le faire vacciner, car sa santé est faible), aérez-vous tous les jours l'appartement, faites-vous souvent des sorties au parc, dans les bois ?
C'est en réalité un choix de vie, et le seul conseil qu'on peut donner, c'est d'écouter son coeur et sa conscience.
Bonne chance
Je crois qu'il n'y a pas une réponse absolue, et c'est à chacun de décider . Cela dépend du mode de vie de la famille , et de l'enfant: va-t-il à la crèche (si oui, il faut mieux le vacciner, car il sera en contact avec d'autres enfants qui peuvent être malades), mange-t-il sainement (si vous l'habituez au Mac Do, il faut mieux le faire vacciner, car sa santé est faible), aérez-vous tous les jours l'appartement, faites-vous souvent des sorties au parc, dans les bois ?
C'est en réalité un choix de vie, et le seul conseil qu'on peut donner, c'est d'écouter son coeur et sa conscience.
Bonne chance
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petite précision pour tout les parents...
Renseignez-vous et soyez flexibles. Puis prenez votre décision après mure réflexion. Etre catégorique alors qu'on ne se renseigne pas partout, c'est presque de l'inconscience. Certaines maladies de l'enfance tuent encore, rarement mais c'est vrai surtout pour la méningite... Mais pour l'hépatite... soyez prudents et renseignez-vous, même si l'information n'est pas officielle, elle n'a pas encore été démentie. Les vaccinations contre l'hépatite peuvent dans certains cas (pas si rare) être associés au dévelopement de la sclérose en plaques. Je suis consciente que l'hépatite tue, et que la sclérose en plaques est invalidante mais pas mortelle... à vous de faire le choix du moindre risque, ne laissons pas les compagnies pharmaceutiques faire le choix à notre place. Je suis un de ces cas, j'aurais aimé savoir avant, histoire d'être sure de mon choix.
re: Vaccins: pour ou contre ?
Pour attayer un peu le débat...
http://mamanantes.free.fr/forum/viewtopic.php?t=1572
Anyna (25.02.1983)
Maman d'Alexandre (09.07.2004)
http://mamanantes.free.fr/forum/viewtopic.php?t=1572
Anyna (25.02.1983)
Maman d'Alexandre (09.07.2004)
re: Vaccins: pour ou contre ?
Voici ce que j'ai lu récemment, écrit par le Dr Julien Cohen Solal:
Il existe encore des parents qui ont peur des vaccinations, et des médecins qui les déconseillent. C'est un grand scandale.
Lorsque je commençais la pédiatrie, il y a bien plus de 40ans, à l'hôpital des Enfants-Malades à Paris, il existait encore un pavillon où l'on hospitalisait les enfants diphtériques.
Il existait un pavillon où l’on traitait – ou commençait à traiter, car la découverte de la streptomycine était récente – les méningites tuberculeuses dont nous apprenions un ou deux ans auparavant, dans les livres, que c’était une maladie dont on faisait le diagnostique le plus tard possible car il ne pouvait y avoir de guérison et que tous les cas étaient mortels.
Nous voyions des enfants atteints de croups auxquels il fallait une trachéotomie ou une intubation et qui mouraient.
La coqueluche est une maladie grave chez le bébé.
La variole était une maladie effroyable, qui entraînait la mort dans un cas sur deux et qui laissait des cicatrices indélébiles. C’étaient les sujets « grêlés » de l’ancien temps. Selon l’OMS, elle a disparu du monde depuis 1978.
Le tétanos et la diphtérie ont pratiquement disparu chez nos enfants. Mais on en observe quelques cas, sévères seulement chez le sujet non vacciné.
Une vaccination, quelle qu’elle soit, ne protège jamais à coup sûr et dans 100% des cas. De plus, il existe d’excellents et très efficaces vaccins (les antitétanique, par exemple), de moins actifs (anticoquelucheux) ou franchement peu utiles (antityphoïdique). Mais, même si le vaccin est peu efficace, il diminue toujours la sévérité de la maladie si le sujet vient à la contracter.
Dans les pays les plus avancés sur le plan de l’hygiène et de la prévention (ce qui n’est pas le cas en France, malheureusement), la tuberculose a pratiquement disparu ; de ce point de vue, la France arrive en avant dernière position en Europe pour la morbidité (fréquence des cas rapportée au nombre d’habitants).
En 1910, en France, il y eut 25000 cas de diphtérie dont 3000 mortels. En 1971, 38 cas et 1 décès.
Avec la vaccination antipoliomyélitique, les Etats-Unis sont passés de 40000 cas par an environ à 17 en 1969.
L’armée allemande pendant la guerre de 1914-1918, l’armée américaine à Manille en 1942-1945 ont été décimées par le tétanos contre lequel les hommes n’étaient pas vaccinés, alors que les Français en 1914, les Japonais en 1942 n’en ont pas souffert.
Les vaccinations ont en grande partie transformée la condition sanitaire de la population du monde et cet effort date à peine du début du siècle.
C’est un progrès gigantesque, fantastique, dont nous n’avons qu’une faible idée parce que le bon état de santé des enfants nous paraît aller de soi ; il ne faut pas oublier qu’il y a moins d’un siècle les parents vivaient en permanence dans l’angoisse de la maladie grave ou mortelle qui pouvait frapper à n’importe quel moment. Et tout cela est dû aux efforts conjoints de centaines de milliers de chercheurs célèbres ayant permis les découvertes qui ont, en fait, transformé la condition humaine, faisant apparaître la santé comme une donnée normale.
Toute vaccination, comme tout acte médical actif, peut comporter un risque ; mais ici le risque est si infime, quasi inexistant, en regard de la sécurité garantie par la vaccination, que son intérêt fondamental ne doit pas se discuter.
Les vaccinations ont pour but d’entraîner une immunité du sujet vacciné contre la maladie en cause, en déclenchant puis en stimulant cette immunité qui n’est pas naturelle, de la même manière que le fait la maladie en cause si elle a guéri : c’est une immunité active développée par l’organisme lui-même, différente de l’immunité passive entraînée par l’injection du sérum (antitétanique ou antidiphtérique par exemple) ou des gammaglobulines par exemple, contre la rougeole). L’immunité passive n’a qu’une faible durée, le de vie dans l’organisme des anticorps injectés ne dépassant guère trois semaines.
L’immunité active a une durée beaucoup plus longue, se comptant en années, mais elle n’est pas définitive. Aussi faut-il renforcer cette immunité par des injections de rappel, ou revacciner au bout de quelques années (pour le B.C.G. par exemple).
L’utilité, la nécessité des vaccinations ne se discutent plus.
En dehors des contre-indications normales, en fait très rares et dont je parlerai pour chaque cas, il est criminel de ne pas les effectu
Anyna (25.02.1983)
Maman d'Alexandre (09.07.2004)
Il existe encore des parents qui ont peur des vaccinations, et des médecins qui les déconseillent. C'est un grand scandale.
Lorsque je commençais la pédiatrie, il y a bien plus de 40ans, à l'hôpital des Enfants-Malades à Paris, il existait encore un pavillon où l'on hospitalisait les enfants diphtériques.
Il existait un pavillon où l’on traitait – ou commençait à traiter, car la découverte de la streptomycine était récente – les méningites tuberculeuses dont nous apprenions un ou deux ans auparavant, dans les livres, que c’était une maladie dont on faisait le diagnostique le plus tard possible car il ne pouvait y avoir de guérison et que tous les cas étaient mortels.
Nous voyions des enfants atteints de croups auxquels il fallait une trachéotomie ou une intubation et qui mouraient.
La coqueluche est une maladie grave chez le bébé.
La variole était une maladie effroyable, qui entraînait la mort dans un cas sur deux et qui laissait des cicatrices indélébiles. C’étaient les sujets « grêlés » de l’ancien temps. Selon l’OMS, elle a disparu du monde depuis 1978.
Le tétanos et la diphtérie ont pratiquement disparu chez nos enfants. Mais on en observe quelques cas, sévères seulement chez le sujet non vacciné.
Une vaccination, quelle qu’elle soit, ne protège jamais à coup sûr et dans 100% des cas. De plus, il existe d’excellents et très efficaces vaccins (les antitétanique, par exemple), de moins actifs (anticoquelucheux) ou franchement peu utiles (antityphoïdique). Mais, même si le vaccin est peu efficace, il diminue toujours la sévérité de la maladie si le sujet vient à la contracter.
Dans les pays les plus avancés sur le plan de l’hygiène et de la prévention (ce qui n’est pas le cas en France, malheureusement), la tuberculose a pratiquement disparu ; de ce point de vue, la France arrive en avant dernière position en Europe pour la morbidité (fréquence des cas rapportée au nombre d’habitants).
En 1910, en France, il y eut 25000 cas de diphtérie dont 3000 mortels. En 1971, 38 cas et 1 décès.
Avec la vaccination antipoliomyélitique, les Etats-Unis sont passés de 40000 cas par an environ à 17 en 1969.
L’armée allemande pendant la guerre de 1914-1918, l’armée américaine à Manille en 1942-1945 ont été décimées par le tétanos contre lequel les hommes n’étaient pas vaccinés, alors que les Français en 1914, les Japonais en 1942 n’en ont pas souffert.
Les vaccinations ont en grande partie transformée la condition sanitaire de la population du monde et cet effort date à peine du début du siècle.
C’est un progrès gigantesque, fantastique, dont nous n’avons qu’une faible idée parce que le bon état de santé des enfants nous paraît aller de soi ; il ne faut pas oublier qu’il y a moins d’un siècle les parents vivaient en permanence dans l’angoisse de la maladie grave ou mortelle qui pouvait frapper à n’importe quel moment. Et tout cela est dû aux efforts conjoints de centaines de milliers de chercheurs célèbres ayant permis les découvertes qui ont, en fait, transformé la condition humaine, faisant apparaître la santé comme une donnée normale.
Toute vaccination, comme tout acte médical actif, peut comporter un risque ; mais ici le risque est si infime, quasi inexistant, en regard de la sécurité garantie par la vaccination, que son intérêt fondamental ne doit pas se discuter.
Les vaccinations ont pour but d’entraîner une immunité du sujet vacciné contre la maladie en cause, en déclenchant puis en stimulant cette immunité qui n’est pas naturelle, de la même manière que le fait la maladie en cause si elle a guéri : c’est une immunité active développée par l’organisme lui-même, différente de l’immunité passive entraînée par l’injection du sérum (antitétanique ou antidiphtérique par exemple) ou des gammaglobulines par exemple, contre la rougeole). L’immunité passive n’a qu’une faible durée, le de vie dans l’organisme des anticorps injectés ne dépassant guère trois semaines.
L’immunité active a une durée beaucoup plus longue, se comptant en années, mais elle n’est pas définitive. Aussi faut-il renforcer cette immunité par des injections de rappel, ou revacciner au bout de quelques années (pour le B.C.G. par exemple).
L’utilité, la nécessité des vaccinations ne se discutent plus.
En dehors des contre-indications normales, en fait très rares et dont je parlerai pour chaque cas, il est criminel de ne pas les effectu
Anyna (25.02.1983)
Maman d'Alexandre (09.07.2004)
re: Vaccins: pour ou contre ?
Débat très interessant.
La question n'est pas encore tout à fait d'actualité pour nous, mais sachant qu'un vaccin à une durée de vie limitée, ne serait-il pas preferable de faire vacciner son enfant un peu plus tard et surtout, reparti sur une plus longue durée car c'est fou tous les vaccins qu'il y a pour un bébé de 2 mois sans immunité (surtout s'il n'a pas été allaité..). Ca fait un peu beaucoup en une fois je trouve...
Si jamais, ce site est très instructif:
http://www.jelmiger.com
Future maman de X ou Y pour juin 2005
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re: Vaccins: pour ou contre ?
Bonsoir,
J'ai longtemps hésité à faire vacciner mon fils. Mais je m'y suis résolu.Parce que beaucoup de maladies ont été éradiquées grâce aux vaccins. La tuberculose n'existait plus dans notre pays depuis env. 10 ans. Et aujourd'hui, plusieurs cas de tuberculose ont été signalés. Pratiquement tous les sidéens la contractent. Et puis les gens voyagent. Dernièrement des cas de mèningite et de coqueluche ont été signalés sur Fribourg...
Et même si mon fils a des effets secondaires (ce qui n'est pas le cas pour le moment), je les assume plutôt que de le voir intuber dans un service de réanimation suite à la coqueluche.
Chacin fait comme il veut. Le tout est d'assumer ses choix.
Quant à drainer les vaccins, les spécialistes le trouvent nécessaire que si l'enfant a fait des réactions aux vaccins.
J'ai longtemps hésité à faire vacciner mon fils. Mais je m'y suis résolu.Parce que beaucoup de maladies ont été éradiquées grâce aux vaccins. La tuberculose n'existait plus dans notre pays depuis env. 10 ans. Et aujourd'hui, plusieurs cas de tuberculose ont été signalés. Pratiquement tous les sidéens la contractent. Et puis les gens voyagent. Dernièrement des cas de mèningite et de coqueluche ont été signalés sur Fribourg...
Et même si mon fils a des effets secondaires (ce qui n'est pas le cas pour le moment), je les assume plutôt que de le voir intuber dans un service de réanimation suite à la coqueluche.
Chacin fait comme il veut. Le tout est d'assumer ses choix.
Quant à drainer les vaccins, les spécialistes le trouvent nécessaire que si l'enfant a fait des réactions aux vaccins.
re: Vaccins: pour ou contre ?
actuellement, les vaccins sont étudiés de façon très approfondie et servent à éradiquer les maladies graves voire mortelles, il me semble donc indispensable de les faire à bébé selon le carnet vaccinal proposé
Mes 2 enfants n'ont jamais fait de réaction. ils ont 3ans et 9 mois. Sur les conseils de ma pédiatre, je leur administree un suppo de dafalgan avant et un après et ainsi pas de problème.
Je sais que certains enfants font une petite fièvre ou sont un peu énervés, mais qu'est-ce par rapport aux maladies gravissimes contre lesquelles ils sont protégés.
Le jeu en vaut la chandelle il me semble.
Les bénéfices des différents vaccins sont tellement importants et à ne pas oublier.
alors n'hesitez plus il est nécessaire de les vacciner.
pour eux et pour les autres enfants. certaines maladies réapparaissent tout à coup et plus virulentes qu'avant car elles touchent des gens adultes et des ados.Ainsi la rougeole...
bien entedu si elles touchent des ados ou adultes les risques sont plus importants.
Allez courage ce n'est pas agréable de voir une aiguille piquer éle corps de nos petits chéris , mais ce serait encore pire de les voir gravement malades.
gros bisous.
p.s. il est mieux que le dafalgan soit prescrit par votre pédiatre.
Mes 2 enfants n'ont jamais fait de réaction. ils ont 3ans et 9 mois. Sur les conseils de ma pédiatre, je leur administree un suppo de dafalgan avant et un après et ainsi pas de problème.
Je sais que certains enfants font une petite fièvre ou sont un peu énervés, mais qu'est-ce par rapport aux maladies gravissimes contre lesquelles ils sont protégés.
Le jeu en vaut la chandelle il me semble.
Les bénéfices des différents vaccins sont tellement importants et à ne pas oublier.
alors n'hesitez plus il est nécessaire de les vacciner.
pour eux et pour les autres enfants. certaines maladies réapparaissent tout à coup et plus virulentes qu'avant car elles touchent des gens adultes et des ados.Ainsi la rougeole...
bien entedu si elles touchent des ados ou adultes les risques sont plus importants.
Allez courage ce n'est pas agréable de voir une aiguille piquer éle corps de nos petits chéris , mais ce serait encore pire de les voir gravement malades.
gros bisous.
p.s. il est mieux que le dafalgan soit prescrit par votre pédiatre.
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re: Vaccins: pour ou contre ?
Hello,
Perso pas encore dans le choix car je suis en douce attente, mais je suis plutot contre... sure et certain que si je fais faire des vaccins à mon enfant, je lui offrirais aussi un bon dreinage.
juste une chose quand on parle d'effets secondaires, on se refère non pas a des réactions immédiates... mais helas a des problèmes de santé que peuvent surgir après beaucoup beaucoup de temps... et personne vous dira: "oh, c'est peut être grace au super vaccin qu'on vous a fait"... on connait de quoi on se protège mais pas a quoi on s'expose! Reflechissons.
Pour l'instant je me reisegne, voici quelques link où trouver des info pour ou contre:
http://www.vaccins.be/index.
http://www.phac-aspc.gc.ca/publicat/ccdr-rmtc/98vol24/rm2417fb.html
http://www.infovaccins.ch/
http://www.medecines-douces.com/impatient/268jun00/homeo.htm
http://www.verite-sans-frontiere.org/nws-fab.vacc.htm
http://www.alain-lefebvre.com/tv/html/archives-vaccination.htm
bon choix et joieuses fêtes :)
re: Vaccins: pour ou contre ?
jai ds ma parenter une cousine qui as fais le vaccin de 6mois es qui as fais de la fievre elle es nee normal et suite au vaccin elle es rester handicaper elle es rester a l age mental de 6mois elle ne mange pas toute seul elle es pas propre elle marche pas donc j hesiterai moi je te dis la maman avais deja un autr enfant handicaper physique maintenant cette fille as 14ans et nous l avons garder mais je sais pas si je le ferai pour mes enfants bisous
re: Vaccins: pour ou contre ?
Je pense que, comme le lait de vache qui n'est bon que pour les veaux, les vaccins ne sont qu'un business. A partir du moment où les règles d'hygiènes corporelles et alimentaires sont respectées (voir entre autre le chapitre 11 du livre lévitique de la bible)nous n'avons pas besoin de vaccins qui ne font qu'engendrer d'autres maladies, orphelines, génétiques, d'autres business! Ma fille a été sourde jusqu'à l'âge de 6 ans à cause d'antibiotiques et elle n'est plus malade depuis que je suis passée à l'homéopathie. Elle et son grand frère ont subi, hélas, tous les vaccins. Mais pas mon BB de 19 mois et je suis prête à tout pour leur éviter cela à tous les 3 vu que la France est le seul pays à rendre les vaccins obligatoires. Je vous recommande de visiter le site grainvert.com, onglet "Petite planète", 1er titre "Au secours on nous empoisonne!", puis descendre jusqu'à la liste d'articles en rouge "une étude sur les effets secondaires des vaccins" ainsi que le percutant "varicelle:un nouveau marché bien juteux!" Courage!
re: Vaccins: pour ou contre ?
Effectivement, je pense que ce que l'on introduit dans le corp de nos enfants n'est pas anodin et pas sans risque...(lire : la rançon des vaccins...ça fait peur)Certains vaccins sont de souches vivantes ou proviennent de souches aviaires (des poulets) et lorsque l'on sait quelles maladies ont les volailles...
Une chose est sûre c'est qu'après chaque vaccination, il faut drainer ton enfant.
J'ai fait vacciner mon fils pour la polio, le tétanos et la diphtérie, que les maladies mortelles et sans traitement dès qu'il s'est mis à ramper (donc en contact avec des agents pathogènes) vers 7-8 mois. Si tu allaites ton enfant, les vaccins ne sont pas nécessaire si tôt (2-4 mois), tu l'immunises. Après son premier rappel il a développé des plaques rouges granuleuses sur tout le corps, après drainage c'est parti au bout de qques semaines.
De plus, certaines maladies enfantiles sont nécessaires au développement des enfants tant au niveau physique que psychique, mais ça c'est une question de philosophie. Le fait d'être malade, de ne pas se sentir en santé les fait prendre conscience de la valeur de la vie et ils développent certaines résistances physiques aussi.
Une chose est sûre c'est qu'après chaque vaccination, il faut drainer ton enfant.
J'ai fait vacciner mon fils pour la polio, le tétanos et la diphtérie, que les maladies mortelles et sans traitement dès qu'il s'est mis à ramper (donc en contact avec des agents pathogènes) vers 7-8 mois. Si tu allaites ton enfant, les vaccins ne sont pas nécessaire si tôt (2-4 mois), tu l'immunises. Après son premier rappel il a développé des plaques rouges granuleuses sur tout le corps, après drainage c'est parti au bout de qques semaines.
De plus, certaines maladies enfantiles sont nécessaires au développement des enfants tant au niveau physique que psychique, mais ça c'est une question de philosophie. Le fait d'être malade, de ne pas se sentir en santé les fait prendre conscience de la valeur de la vie et ils développent certaines résistances physiques aussi.
re: Vaccins: pour ou contre ?
et j'oubliais, c'est vrai que certaines maladies pour lesquelles on vaccine étaient mortelles il y a des années. Avec les progrès médicaux, on arrive à les traîter.
re: Vaccins: pour ou contre ?
Il y a une brochure qui est vraiment bien faite par un groupe médical de réflexion sur le vaccins on peut l'avoir pour 5.-frs et qui explique bien le pour et le contre de chaque vaccin qui existe
c'est : vaccinations pour un choix personnalisé
mon site : www.torti.ch/bebe
mon forum :www.torti.ch/alexia/forum
c'est : vaccinations pour un choix personnalisé
mon site : www.torti.ch/bebe
mon forum :www.torti.ch/alexia/forum
petite précision pour tout les parents...
Salut,
Je viens de prendre le débat en route et j'avoue que je bondis un peu... je veux juste faire un rectificatif... la sclérose en plaques est une maladie invalidante ET mortelle... j'ai une arrière-grand-mère en phase terminale...
A cause de la paralysie des muscles volontaires de la respiration et de la déglutition, l'essentiel des malades meurent étouffés soit à cause d'une fausse route, soit à cause d'une insuffisance respiratoire.
merichan, maman d'une adorable puce née le 29.08.2004
Je viens de prendre le débat en route et j'avoue que je bondis un peu... je veux juste faire un rectificatif... la sclérose en plaques est une maladie invalidante ET mortelle... j'ai une arrière-grand-mère en phase terminale...
A cause de la paralysie des muscles volontaires de la respiration et de la déglutition, l'essentiel des malades meurent étouffés soit à cause d'une fausse route, soit à cause d'une insuffisance respiratoire.
merichan, maman d'une adorable puce née le 29.08.2004
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RÉFLEXION SUR LA VACCINATION
La réflexion devient de plus en plus vivante, palpable, maintenant que le documentaire SILENCE ON VACCINE www.onf.ca/silenceonvaccine est découvert par un nombre de plus en plus important de personnes. D’une part, le film et son BLOGUE http://linabmoreco.wordpress.com semble répondre à une demande de la population, soit un besoin d’informations différentes -
.
Combien de témoignages je reçois, jour après jour, de parents qui me racontent avoir subi du harcèlement, de la pression, voir aussi de l’agressivité, parce qu’ils ont posé des questions, parce qu’ils désirent espacer les vaccinations de leur enfant ou les remettre à un peu plus tard, après l’âge de 2,3 ou 4 ans.
“Il est impossible de discuter avec le pédiatre de quoi que ce soit” témoignent-ils.
Est-ce vraiment le rôle du médecin d’agir de la sorte ? Ne devrait-il pas accompagner les parents dans leurs questionnements, dans leurs voies distinctes, et ainsi respecter leurs choix au lieu de les chasser comme des infidèles ?
Actuellement, nous vivons tous une pression sociale qui repose sur le marketing de la peur, on nous fait trembler avec la maladie mortelle comme si elle nous pendait au bout du nez. On nous effraie avec des déclarations d’épidémies - d’histoires d’enfants non vaccinés décédés - et cela, sans oublier de déclarer avec certitude, qu’un enfant non vacciné est un danger pour la société.
Pourtant, en même temps, certaines des maladies graves de l’enfance tel l’autisme, se développent entre un an et deux ans et demi ( à peu près) selon le milieu médical, et cela n’aurait rien à voir avec la multitude de vaccins que l’enfant reçoit durant la même période. Pourquoi ne pas en être certain et cesser toute vaccination durant la période sensible, vulnérable du développement d’un enfant ? Le fait d’inoculer un vaccin un peu plus tard dans la vie de l’enfant pourrait-il être vraiment dangereux ?
Repenser la vaccination une issue sociale normale.
Nous sommes de plus en plus nombreux à nous soucier de notre environnement, des produits toxiques utilisés dans la fabrication des aliments et dans les produits de notre vie quotidienne. Nous sommes de plus en plus nombreux à comprendre que la santé commence par repenser ce qui entre dans notre corps, ce qu’il y a dans notre assiette, ce que nous consommons au quotidien.
Conséquemment, il est tout à fait normal que ce que ceux-là mêmes qui se posent des questions, qui réajustent leurs habitudes de vie, le fassent tout autant pour la vaccination.
Ceux qui s’informent ne le font pas qu’à moitié. Ils savent que les vaccins sont composés de différentes substances chimiques, que l’effet escompté d’un vaccin dépend du système immunitaire de la personne vaccinée, que chacun de nous n’avons pas le même organisme ni les mêmes capacités ou failles, que nous n’avons pas le même terrain.
Par exemple, un enfant malade ou affaibli à la naissance a un terrain différent. Alors ils posent des questions : Cet enfant différent, devrait-il recevoir un vaccin au même moment que l’enfant en pleine santé ? Ne devrait-il pas être administré plus tardivement ? De même, si un enfant fait ses dents, de la fièvre, vit quelque chose de difficile à la maison, ne vaut-il pas la peine de repenser la vaccination pour cet enfant là, attendre qu’il retrouve son énergie et toutes ses forces ?
Comme la vaccination des enfants est recommandée selon un calendrier universel, on ne regarde pas la vaccination autrement. On ne propose pas des injections qui correspondent au rythme biologique de l’enfant. On nous vaccine comme on le fait pour un troupeau de mouton, les uns après les autres. Vous êtes allergiques aux oeufs, on vous donne tout de même le vaccin de la grippe par exemple.
Alors, la question n’est pas de savoir s’il est opportun ou non de vacciner mais de savoir comment on peut changer le cours des choses et respecter le développement et la santé de chaque personne et d’accompagner ceux qui voient la santé et la vaccination autrement.
Lina B Moreco
http://linabmoreco.wordpress.com
www.onf.ca/silenceonvaccine
.
Combien de témoignages je reçois, jour après jour, de parents qui me racontent avoir subi du harcèlement, de la pression, voir aussi de l’agressivité, parce qu’ils ont posé des questions, parce qu’ils désirent espacer les vaccinations de leur enfant ou les remettre à un peu plus tard, après l’âge de 2,3 ou 4 ans.
“Il est impossible de discuter avec le pédiatre de quoi que ce soit” témoignent-ils.
Est-ce vraiment le rôle du médecin d’agir de la sorte ? Ne devrait-il pas accompagner les parents dans leurs questionnements, dans leurs voies distinctes, et ainsi respecter leurs choix au lieu de les chasser comme des infidèles ?
Actuellement, nous vivons tous une pression sociale qui repose sur le marketing de la peur, on nous fait trembler avec la maladie mortelle comme si elle nous pendait au bout du nez. On nous effraie avec des déclarations d’épidémies - d’histoires d’enfants non vaccinés décédés - et cela, sans oublier de déclarer avec certitude, qu’un enfant non vacciné est un danger pour la société.
Pourtant, en même temps, certaines des maladies graves de l’enfance tel l’autisme, se développent entre un an et deux ans et demi ( à peu près) selon le milieu médical, et cela n’aurait rien à voir avec la multitude de vaccins que l’enfant reçoit durant la même période. Pourquoi ne pas en être certain et cesser toute vaccination durant la période sensible, vulnérable du développement d’un enfant ? Le fait d’inoculer un vaccin un peu plus tard dans la vie de l’enfant pourrait-il être vraiment dangereux ?
Repenser la vaccination une issue sociale normale.
Nous sommes de plus en plus nombreux à nous soucier de notre environnement, des produits toxiques utilisés dans la fabrication des aliments et dans les produits de notre vie quotidienne. Nous sommes de plus en plus nombreux à comprendre que la santé commence par repenser ce qui entre dans notre corps, ce qu’il y a dans notre assiette, ce que nous consommons au quotidien.
Conséquemment, il est tout à fait normal que ce que ceux-là mêmes qui se posent des questions, qui réajustent leurs habitudes de vie, le fassent tout autant pour la vaccination.
Ceux qui s’informent ne le font pas qu’à moitié. Ils savent que les vaccins sont composés de différentes substances chimiques, que l’effet escompté d’un vaccin dépend du système immunitaire de la personne vaccinée, que chacun de nous n’avons pas le même organisme ni les mêmes capacités ou failles, que nous n’avons pas le même terrain.
Par exemple, un enfant malade ou affaibli à la naissance a un terrain différent. Alors ils posent des questions : Cet enfant différent, devrait-il recevoir un vaccin au même moment que l’enfant en pleine santé ? Ne devrait-il pas être administré plus tardivement ? De même, si un enfant fait ses dents, de la fièvre, vit quelque chose de difficile à la maison, ne vaut-il pas la peine de repenser la vaccination pour cet enfant là, attendre qu’il retrouve son énergie et toutes ses forces ?
Comme la vaccination des enfants est recommandée selon un calendrier universel, on ne regarde pas la vaccination autrement. On ne propose pas des injections qui correspondent au rythme biologique de l’enfant. On nous vaccine comme on le fait pour un troupeau de mouton, les uns après les autres. Vous êtes allergiques aux oeufs, on vous donne tout de même le vaccin de la grippe par exemple.
Alors, la question n’est pas de savoir s’il est opportun ou non de vacciner mais de savoir comment on peut changer le cours des choses et respecter le développement et la santé de chaque personne et d’accompagner ceux qui voient la santé et la vaccination autrement.
Lina B Moreco
http://linabmoreco.wordpress.com
www.onf.ca/silenceonvaccine
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Lina: ce post est très vieux, de 2004 au départ. Vous devriez créer un nouveau post propre à vous sous "santé" par exemple.
Un accouchement est un acte incroyable (à l'hosto)
Ta douce venue au monde petit Maxim (en mdn)
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