De rien ;)
Publié : mar. avr. 29, 2008 10:28 pm
bonne soirée à toi aussi et à vous toutes :)
Page 10 sur 12
MDR
Publié : mar. avr. 29, 2008 10:33 pm
MDR
j ai trouvé cela sur la rougeole
Publié : mar. avr. 29, 2008 10:44 pm
La rougeole
Définition
La rougeole, comme les oreillons, la rubéole ou la coqueluche, est une maladie d'enfance classique. Le virus de la rougeole est très contagieux et se transmet par des gouttelettes de salive projetées en toussant. Dans nos pays, malgré une fièvre élevée, la maladie n'a que rarement une évolutin grave et la guérison intervient après une semaine.
Symptômes
La rougeole débute avec de la fièvre, un rhume, une toux sèche irritante et une conjonctivite. Dans la bouche, sur la muqueuse de la joue, apparaissent de petits points et de fines stries blanchâtres.
Dans un premier temps, la fièvre diminue, puis remonte jusqu'aux environs de 40°c, pouvant même provoquer des convulsions. Une éruption rougeâtre, tachetée apparaît sur le visage et derrière les oreilles, pour s'étendre par la suite à tout le corps. L'enfant malade craint la lumière.
Après deux à trois jours, l'éruption s'atténue, la peau desquame et la fièvre diminue. L'enfant a besoin de quelques jours de repos. Il est protégé à vie contre toute autre réinfection par le virus de la rougeole.
Complications
La maldie est généralement sévère, mais sans grand ecompolication. Une pneumonie ou une otite bactériennes sont souvent associées à la rougeole.
Comme complication grave, on craint surtout l'encéphalite dont la fréquence est plus élevée chez les nourrissons et les jeunes adultes. Cette fréquence varie, selon les sources, entre un cas sur 1'000 et un cas sur 10'000 malades, le deuxième chiffre semblant plus réaliste.
Une encéphalite après rougeole est mortelle dans un dixième des cas et des séquelles cérébrales persistent chez un tiers des personnes atteintes.
Très rarement (un cas sur 200'000) il peut y avoir, comme complication tardive, une autre forme d'encéphalite (panencéphalite subaiguë sclérosante), toujours fatale.
Epidémiologie
Depuis l'introduction du vaccin en Suisse, la rougeole n'est plus très répandue, mais de petites épidémies locales apparaissent toujours de temps à autre.
Définition
La rougeole, comme les oreillons, la rubéole ou la coqueluche, est une maladie d'enfance classique. Le virus de la rougeole est très contagieux et se transmet par des gouttelettes de salive projetées en toussant. Dans nos pays, malgré une fièvre élevée, la maladie n'a que rarement une évolutin grave et la guérison intervient après une semaine.
Symptômes
La rougeole débute avec de la fièvre, un rhume, une toux sèche irritante et une conjonctivite. Dans la bouche, sur la muqueuse de la joue, apparaissent de petits points et de fines stries blanchâtres.
Dans un premier temps, la fièvre diminue, puis remonte jusqu'aux environs de 40°c, pouvant même provoquer des convulsions. Une éruption rougeâtre, tachetée apparaît sur le visage et derrière les oreilles, pour s'étendre par la suite à tout le corps. L'enfant malade craint la lumière.
Après deux à trois jours, l'éruption s'atténue, la peau desquame et la fièvre diminue. L'enfant a besoin de quelques jours de repos. Il est protégé à vie contre toute autre réinfection par le virus de la rougeole.
Complications
La maldie est généralement sévère, mais sans grand ecompolication. Une pneumonie ou une otite bactériennes sont souvent associées à la rougeole.
Comme complication grave, on craint surtout l'encéphalite dont la fréquence est plus élevée chez les nourrissons et les jeunes adultes. Cette fréquence varie, selon les sources, entre un cas sur 1'000 et un cas sur 10'000 malades, le deuxième chiffre semblant plus réaliste.
Une encéphalite après rougeole est mortelle dans un dixième des cas et des séquelles cérébrales persistent chez un tiers des personnes atteintes.
Très rarement (un cas sur 200'000) il peut y avoir, comme complication tardive, une autre forme d'encéphalite (panencéphalite subaiguë sclérosante), toujours fatale.
Epidémiologie
Depuis l'introduction du vaccin en Suisse, la rougeole n'est plus très répandue, mais de petites épidémies locales apparaissent toujours de temps à autre.
les complications sont rares
Publié : mar. avr. 29, 2008 10:46 pm
les complications sont rares mais c'est bien de savoir qu'elles existent.
la meilleure personne pour réponse à tes questions, ça reste quand même le pédiatre de tes enfants je trouve.
chacun à son avis sur la question et le passé de chacune nous renforcent dans nos certitudes. il faut aussi savoir que la rougeole "ne se soigne pas". c'est comme la grippe, ça part, mais on ne peut soigner que la fièvre et les douleurs de la rougeole. c'est pas comme les otites.
après, il y a une partie de la population qui est dite "à risque" et qui n'est pas né avec toutes les chances de son coté et ces personnes sont plutôt démunies jusqu'à 9 mois car on ne peut que croiser les doigts pour pas qu'ils tombent malades.
la meilleure personne pour réponse à tes questions, ça reste quand même le pédiatre de tes enfants je trouve.
chacun à son avis sur la question et le passé de chacune nous renforcent dans nos certitudes. il faut aussi savoir que la rougeole "ne se soigne pas". c'est comme la grippe, ça part, mais on ne peut soigner que la fièvre et les douleurs de la rougeole. c'est pas comme les otites.
après, il y a une partie de la population qui est dite "à risque" et qui n'est pas né avec toutes les chances de son coté et ces personnes sont plutôt démunies jusqu'à 9 mois car on ne peut que croiser les doigts pour pas qu'ils tombent malades.
Rougeole Epidémie de
Publié : mar. avr. 29, 2008 10:48 pm
Rougeole
Epidémie de rougeole - Etat en mars 2008
La Suisse enregistre depuis 16 mois la plus importante épidémie de rougeole observée après l'introduction, en 1999, de la déclaration obligatoire de cette maladie. De début novembre 2006 au 18 mars 2008, 1830 cas ont été déclarés (incidence de 24 cas pour 100 000 habitants), contre en moyenne 50 pour les années précédentes, à l'exception de 2003, autre année épidémique (612 cas). Un premier pic épidémique a été atteint en août 2007 (170 cas), suivi par une diminution du nombre de cas jusqu'à la fin de l'année, puis par une augmentation abrupte conduisant à un second pic en janvier et février 2008 (264 et 277 cas respectivement) [voir graphique]. Tous les cantons ont été touchés, mais avec une intensité très variable [voir carte]. Cinq cantons (LU, BL, ZH, AG et BE) ont enregistré au moins 100 cas chacun, représentant ensemble 66% du total.
Déjà 699 cas survenus depuis le début de l'année 2008 ont été rapportés jusqu'au 18 mars. Parmi ces derniers, 58% sont concentrés dans le nord de la Suisse (Bâle-Campagne, 230 cas ; Bâle-Ville, 63 cas ; Argovie, 58 cas et Soleure, 52 cas). De nombreux cas ont aussi été déclarés en Suisse centrale et orientale (Lucerne, 66 cas ; Grisons, 36 cas ; Zurich, 33 cas ; Appenzell Rhodes-Intérieures, 32 cas ; Glaris, 30 cas et Saint-Gall, 20 cas).
Sur l'ensemble de l'épidémie, les enfants de 5 à 9 ans ont été les plus touchés (27% du total des cas), suivis par ceux de 10 à 14 ans (23%), alors que 18% des patients avaient 20 ans et plus, et que les patients de moins de 1 an étaient rares (3%). L'âge moyen des cas tend cependant à augmenter avec le temps : en 2008, 21% des patients avaient entre 15 et 19 ans et 25%, 20 ans et plus. Parmi les patients pour lesquels le statut vaccinal est connu, 93% n'étaient pas vaccinés et 5% insuffisamment vaccinés (1 dose). Cent-trente-trois hospitalisations, 79 pneumonies et 6 encéphalites ou suspicions d'encéphalites ont été déclarées. Aucun décès n'est à déplorer.
Recommandations
L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) recommande à la population suisse et aux visiteurs étrangers non vaccinés qui n'ont pas eu la rougeole de se protéger au moyen de deux doses d'un vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole). Un rattrapage (deux doses au total, à au moins 1 mois d'intervalle) est possible en tout temps. Il est recommandé en Suisse à toute personne née après 1963.
Vu la situation actuelle, une rougeole doit être envisagée par le médecin, en cas d'éruption avec fièvre chez un patient. Un examen de laboratoire (détection des anticorps IgM spécifiques de la rougeole ou de l'ARN viral par RT-PCR) est recommandé pour confirmer les suspicions de rougeole. Le médecin diagnostiquant un cas de rougeole devrait contrôler le statut vaccinal des autres membres de la famille du patient, et recommander la vaccination si nécessaire. Une vaccination dans les 72 heures suivant l'exposition est recommandée, car elle peut conférer une protection totale ou partielle. En cas d'exposition intrafamiliale, la première dose peut être administrée aux enfants dès l'âge de 6 mois. Une seconde dose à 12 mois (avec un intervalle d'au moins 1 mois entre les deux doses) complète alors la vaccination ROR. L'immunisation passive par des immunoglobulines standard est recommandée dans un délai de 6 jours après l'exposition pour les contacts particulièrement à risque (bébés non immuns de < 6 mois, personnes immunodéprimées, femmes enceintes non immunes). Elle est également à envisager pour les enfants de 6 à 12 mois pour lesquels une vaccination post-expositionnelle n'est plus possible (entre 72 heures et 6 jours).
L’OFSP rappelle aux médecins et aux laboratoires que la déclaration des cas de rougeole est obligatoire, dans un délai de 24 heures (formulaires disponibles sous :
Formulaires de déclaration
Dans le contexte actuel de multiples flambées de rougeole, des mesures visant à interrompre les chaînes de transmission sont également recommandées. Les autorités sanitaires cantonales prennent les mesures appropriées en fonction des situations locales. Celles-ci incluent :
Une information ciblée autour des foyers de rougeole, accompagnée d'une information générale à la population ;
Des enquêtes dans l'entourage des malades (les contacts) pour détecter des personnes potentiellement infectées, ainsi que d'autres malades ;
La vaccination des contacts pas ou incomplètement vaccinés, au plus tard dans les 72 heures suivant le premier contact avec une personne infectieuse;
Le contrôle des carnets de vaccinations au-delà de l'entourage immédiat, suivi de recommandations et d'actions de vaccinations de rattrapage ;
L'éviction scolaire des malades (vaut également pour les crèches);
L'éviction scolaire (idem) et le maintien à domicile des frères et sœurs non vaccinés d'un malade, pendant la durée potentielle de contagiosité (2 à 3 semaines) ;
L'éviction des personnes non-vaccinées des établissements où survient un cas;
D'autres mesures telles que la fermeture temporaire d'une classe d'école ou d'une crèche.
Les moyens à engager sont d'autant plus limités que les mesures sont prises précocement, c'est-à-dire dès le premier cas.
L'OFSP publique rappelle que le moyen le plus efficace de prévenir des épidémies de rougeole et de lutter contre elles consiste à assurer une couverture vaccinale élevée de la population. Cela passe en premier lieu par la vaccination systématique des jeunes enfants. Deux doses d'un vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) sont recommandées à 12 mois et à 15-24 mois pour les enfants vivant en Suisse.
Nombre mensuel de cas de rougeole déclarés en Suisse (août 2006 – mi-mars 2008)
* Données provisoires, d'autres déclarations sont encore attendues pour ce mois
Nombre de cas déclarés par canton depuis le début de l’épidémie de rougeole (novembre 2006 – mi-mars 2008)
voici le lien
http://www.bag.admin.ch/themen/medizin/00682/00684/01087/index.html?lang=fr
Epidémie de rougeole - Etat en mars 2008
La Suisse enregistre depuis 16 mois la plus importante épidémie de rougeole observée après l'introduction, en 1999, de la déclaration obligatoire de cette maladie. De début novembre 2006 au 18 mars 2008, 1830 cas ont été déclarés (incidence de 24 cas pour 100 000 habitants), contre en moyenne 50 pour les années précédentes, à l'exception de 2003, autre année épidémique (612 cas). Un premier pic épidémique a été atteint en août 2007 (170 cas), suivi par une diminution du nombre de cas jusqu'à la fin de l'année, puis par une augmentation abrupte conduisant à un second pic en janvier et février 2008 (264 et 277 cas respectivement) [voir graphique]. Tous les cantons ont été touchés, mais avec une intensité très variable [voir carte]. Cinq cantons (LU, BL, ZH, AG et BE) ont enregistré au moins 100 cas chacun, représentant ensemble 66% du total.
Déjà 699 cas survenus depuis le début de l'année 2008 ont été rapportés jusqu'au 18 mars. Parmi ces derniers, 58% sont concentrés dans le nord de la Suisse (Bâle-Campagne, 230 cas ; Bâle-Ville, 63 cas ; Argovie, 58 cas et Soleure, 52 cas). De nombreux cas ont aussi été déclarés en Suisse centrale et orientale (Lucerne, 66 cas ; Grisons, 36 cas ; Zurich, 33 cas ; Appenzell Rhodes-Intérieures, 32 cas ; Glaris, 30 cas et Saint-Gall, 20 cas).
Sur l'ensemble de l'épidémie, les enfants de 5 à 9 ans ont été les plus touchés (27% du total des cas), suivis par ceux de 10 à 14 ans (23%), alors que 18% des patients avaient 20 ans et plus, et que les patients de moins de 1 an étaient rares (3%). L'âge moyen des cas tend cependant à augmenter avec le temps : en 2008, 21% des patients avaient entre 15 et 19 ans et 25%, 20 ans et plus. Parmi les patients pour lesquels le statut vaccinal est connu, 93% n'étaient pas vaccinés et 5% insuffisamment vaccinés (1 dose). Cent-trente-trois hospitalisations, 79 pneumonies et 6 encéphalites ou suspicions d'encéphalites ont été déclarées. Aucun décès n'est à déplorer.
Recommandations
L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) recommande à la population suisse et aux visiteurs étrangers non vaccinés qui n'ont pas eu la rougeole de se protéger au moyen de deux doses d'un vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole). Un rattrapage (deux doses au total, à au moins 1 mois d'intervalle) est possible en tout temps. Il est recommandé en Suisse à toute personne née après 1963.
Vu la situation actuelle, une rougeole doit être envisagée par le médecin, en cas d'éruption avec fièvre chez un patient. Un examen de laboratoire (détection des anticorps IgM spécifiques de la rougeole ou de l'ARN viral par RT-PCR) est recommandé pour confirmer les suspicions de rougeole. Le médecin diagnostiquant un cas de rougeole devrait contrôler le statut vaccinal des autres membres de la famille du patient, et recommander la vaccination si nécessaire. Une vaccination dans les 72 heures suivant l'exposition est recommandée, car elle peut conférer une protection totale ou partielle. En cas d'exposition intrafamiliale, la première dose peut être administrée aux enfants dès l'âge de 6 mois. Une seconde dose à 12 mois (avec un intervalle d'au moins 1 mois entre les deux doses) complète alors la vaccination ROR. L'immunisation passive par des immunoglobulines standard est recommandée dans un délai de 6 jours après l'exposition pour les contacts particulièrement à risque (bébés non immuns de < 6 mois, personnes immunodéprimées, femmes enceintes non immunes). Elle est également à envisager pour les enfants de 6 à 12 mois pour lesquels une vaccination post-expositionnelle n'est plus possible (entre 72 heures et 6 jours).
L’OFSP rappelle aux médecins et aux laboratoires que la déclaration des cas de rougeole est obligatoire, dans un délai de 24 heures (formulaires disponibles sous :
Formulaires de déclaration
Dans le contexte actuel de multiples flambées de rougeole, des mesures visant à interrompre les chaînes de transmission sont également recommandées. Les autorités sanitaires cantonales prennent les mesures appropriées en fonction des situations locales. Celles-ci incluent :
Une information ciblée autour des foyers de rougeole, accompagnée d'une information générale à la population ;
Des enquêtes dans l'entourage des malades (les contacts) pour détecter des personnes potentiellement infectées, ainsi que d'autres malades ;
La vaccination des contacts pas ou incomplètement vaccinés, au plus tard dans les 72 heures suivant le premier contact avec une personne infectieuse;
Le contrôle des carnets de vaccinations au-delà de l'entourage immédiat, suivi de recommandations et d'actions de vaccinations de rattrapage ;
L'éviction scolaire des malades (vaut également pour les crèches);
L'éviction scolaire (idem) et le maintien à domicile des frères et sœurs non vaccinés d'un malade, pendant la durée potentielle de contagiosité (2 à 3 semaines) ;
L'éviction des personnes non-vaccinées des établissements où survient un cas;
D'autres mesures telles que la fermeture temporaire d'une classe d'école ou d'une crèche.
Les moyens à engager sont d'autant plus limités que les mesures sont prises précocement, c'est-à-dire dès le premier cas.
L'OFSP publique rappelle que le moyen le plus efficace de prévenir des épidémies de rougeole et de lutter contre elles consiste à assurer une couverture vaccinale élevée de la population. Cela passe en premier lieu par la vaccination systématique des jeunes enfants. Deux doses d'un vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) sont recommandées à 12 mois et à 15-24 mois pour les enfants vivant en Suisse.
Nombre mensuel de cas de rougeole déclarés en Suisse (août 2006 – mi-mars 2008)
* Données provisoires, d'autres déclarations sont encore attendues pour ce mois
Nombre de cas déclarés par canton depuis le début de l’épidémie de rougeole (novembre 2006 – mi-mars 2008)
voici le lien
http://www.bag.admin.ch/themen/medizin/00682/00684/01087/index.html?lang=fr
@Skuidly69.......93 % n'étaitent pas vaccinés....et 5 % insuff
Publié : mer. avr. 30, 2008 3:07 am
Sur l'ensemble de l'épidémie, les enfants de 5 à 9 ans ont été les plus touchés (27% du total des cas), suivis par ceux de 10 à 14 ans (23%), alors que 18% des patients avaient 20 ans et plus, et que les patients de moins de 1 an étaient rares (3%). L'âge moyen des cas tend cependant à augmenter avec le temps : en 2008, 21% des patients avaient entre 15 et 19 ans et 25%, 20 ans et plus.
PARMI LES PATIENTS POUR LESQUELS LE STATUT VACCINAL EST CONNU, 93 % N'ETAIENT PAS VACCINES ET 5 % INSUFFISAMMENT VACCINES (1 DOSE)
Cent-trente-trois hospitalisations, 79 pneumonies et 6 encéphalites ou suspicions d'encéphalites ont été déclarées. Aucun décès n'est à déplorer.
PARMI LES PATIENTS POUR LESQUELS LE STATUT VACCINAL EST CONNU, 93 % N'ETAIENT PAS VACCINES ET 5 % INSUFFISAMMENT VACCINES (1 DOSE)
Cent-trente-trois hospitalisations, 79 pneumonies et 6 encéphalites ou suspicions d'encéphalites ont été déclarées. Aucun décès n'est à déplorer.
merci j'aime lire que 93 % des patients n'étaient pas vaccinés
Publié : mer. avr. 30, 2008 3:19 am
car si certaines ne savent pas compter 93 % de non vaccinés + 5 % d'insuffissament vaccinés ca fait 98 % de carences vaccinales (y a que celles qui sont allées à l'école jusqu'au bout qui savent compter tant pis pour les autres qui veulent rester dans l'ignorance et le déni de la réalité)
question de mathématique : 93 % + 5 % =
Publié : mer. avr. 30, 2008 3:23 am
si besoin je te donne un cours de mathématique gratuit avant de m'insulter.
je crois que le debat a assez duré..
Publié : mer. avr. 30, 2008 3:33 am
on ne pourra pas faire que des heureux alors restons en là..
chaque personne a ses convictions.. personne ne changera quiconque, ni les statistique.. si les pediatres n'arrivent pas a a voir assez d'arguments pour tout le monde, laissons chacune faire son choix.
chaque personne a ses convictions.. personne ne changera quiconque, ni les statistique.. si les pediatres n'arrivent pas a a voir assez d'arguments pour tout le monde, laissons chacune faire son choix.
heureusement que les pro vaccins sont présents en suisse romand
Publié : mer. avr. 30, 2008 4:14 am
et que les mamans (pro-vaccins) de suisse romande dont nous faisons partie sur bébé.ch (pour certaines) se battent pour que l'épidemie reste de l'autre coté de la barrière du rösti (j'explique volontiers ce que c'est par mp).
58% sont concentrés dans le nord de la Suisse
Bâle-Campagne, 230 cas
Bâle-Ville, 63 cas
Argovie, 58 cas
Soleure, 52 cas
Lucerne, 66 cas
Grisons, 36 cas
Zurich, 33 cas
Appenzell Rhodes-Intérieures, 32 cas
Glaris, 30 cas
Saint-Gall, 20 cas
Les cas sont concentrés essentiellement en suisse allemande là ou bébé.ch n'est pas ou pas encore lol.
Pour celle qui voient déjà en moi une pro romande c'est loupé je suis une suisse allemande depuis 7 générations....et qui parle en connaissance de cause culturelle lol.
voir carte
sous http://www.bag.admin.ch/themen/medizin/00682/00684/01087/index.html?lang=fr&bild=36932
58% sont concentrés dans le nord de la Suisse
Bâle-Campagne, 230 cas
Bâle-Ville, 63 cas
Argovie, 58 cas
Soleure, 52 cas
Lucerne, 66 cas
Grisons, 36 cas
Zurich, 33 cas
Appenzell Rhodes-Intérieures, 32 cas
Glaris, 30 cas
Saint-Gall, 20 cas
Les cas sont concentrés essentiellement en suisse allemande là ou bébé.ch n'est pas ou pas encore lol.
Pour celle qui voient déjà en moi une pro romande c'est loupé je suis une suisse allemande depuis 7 générations....et qui parle en connaissance de cause culturelle lol.
voir carte
sous http://www.bag.admin.ch/themen/medizin/00682/00684/01087/index.html?lang=fr&bild=36932