Enfin la vérité sur les vaccins !
Publié : ven. nov. 17, 2006 11:21 am
Je conseille à toutes les mamans de lire ce livre un jour. Le titre est : Vaccination, l'overdose écrit par Sylvie Simon
Les vaccinations affaiblissent nos défenses immunitaires et peuvent générer de très graves effets secondaires : autisme, diabète, paralysies, cancers...
Les pouvoirs publics et les laboratoires persistent pourtant dans leur propagande. On nous trompe, car les enjeux financiers du "commerce vaccinal" sont colossaux.
Sylvie Simon a réalisé une enquête magistrale : documentation étayée sur chaque vaccin, son efficacité et ces risques réels; révélations et informations inédites collectéés auprès des scientifiques internationaux : médecins, biologistes et chercheurs dont l'intégrité et la compétence ne font aucun doute.
En voici un extrès pour vous convaincre de le lire (préface) :
Je voudrais saluer sa lucidité et son courage. Aujourd'hui, elle ne craint pas de s'attaquer au puissant lobby des vaccinations. Une fois de plus, elle analyse sans complaisance les données du problème.
Son énorme travail de synthèse livre au public les informations qui vont lui permettre de se faire une opinion, loin du battage médiatique de désinformation, au service des puissances d'argent qui ne peuvent se permettre de laisser filtrer la vérité.
La parole ayant toujours été donnée aux "vaccinalistes", adulateurs de Louis Pasteur (on se demande comment des générations de biologistes ont pu être aussi aveugles), Sylvie Simon la donne enfin à ceux qui, ayant gardé leur esprit critique, ont été capables de sortir du système en s'effarant d'une telle dérive, aussi grave pour non concitoyens que pour le reste du monde.
Il faut également rendre hommage aux courageux médecins et scientifiques (qui ont tout à perdre dans ce combat) et qui dénoncent, eux aussi, l'imposture scientifique prônant les vaccinations...
Il est aujourd'hui reconnu que Pasteur fut un faussaire. Béchamp, Tissot et d'autres l'avaient eu leur temps dénoncé. Leurs expériences irréfutables ont montré que l'approche de Pasteur concernant les microbes était fausse, lui-même l'ayant reconnu sur son lit de mort !
Comment expliquer l'absence de critiques depuis cent ans ? La communauté scientifique, une fois de plus, s'est satisfaite de vues à court terme : la disparition du microbe ou du virus et l'apparente éradication de la maladie.
Si l'on peut faire apparaître tel microbe ou tel virus en fonction de la composition du milieu de culture, il faut bien admettre qu'il était déjà présent dans les cellules et que seule la nature du terrain lui permet ou non de se manifester.
Louis Pasteur l'avait d'ailleures lui-même prouvé dans une communication à l'Académie des Sciences. Il a démontré le rôle du stress sur le résultat de l'inoculation du bacille du charbon en présentant deux poules inoculées. Seule est morte celle qui avait été soumise à une exposition au froid avant l'injection.
Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour avoir accès à ces informations ? Pourquoi le point de vue d'un savant comme Antoine Béchamp n'est-il pas enseigné dans les facultés ? Cela permettrait à des chercheurs de vérifier la véracité de ces travaux. Ainsi le scandale des vaccinations, erreur médicale s'il en est, ne serait pas perpétué. Or, il se poursuit à cause d'un matraquage médiatique de manipulation et de piblicité abusive, afin de préserver les énormes intérêts financiers liés aux vaccinations massives. Ces dernières contribuent au déficit majeur de la Sécurité Sociale.
Aujourd'hui, il est temps de mettre un terme à ces mensonges. La nouvelle médecine, celle de l'information, nous permet une approche de la maladie totalement différente. Elle nous fait considérer les vaccinations comme l'une des plus grandes erreurs de notre temps, le vestige médiéval d'une approche anti-scientifique, qui refuse de prendre en compte le "terrain". Et pourtant, que n'a-t-on rabâché : "Le microbe n'est rien, le terrain est tout!"
Un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus "agresseurs", microbes, virus et autres prions, ne sont rien d'autre que des constituants cellulaires. Ce sont donc des produits endogènes en non des "agresseurs venus d'ailleurs". Il est alors aberrant de vouloir immuniser un organisme contre ses propres constituants ! En procédant ainsi, on change la nature du terrain, donc la vibration, et le virus ou microbe ne se manifestent plus. Divine Science !
La conséquence en est qu'une autre pathologie aura des chances de faire son apparition ; personne, ou presque, ne songera à la relier avec cet acte barbare et contre nature que constitue la vaccination.
On prédend éradiquer des maladies alors que l'on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant, par méconnaissance des mécanismes du vivant, de reconnaître les conséquences néfastes du déplacement du terrain.
Dès lors comment s'étonner de la montée en flèche des maladies nosocomiales (contractées dans les hôpitaux) ? A l'ère de l'asepsie, recherchée à grands frais dans ces établissements, le combat est perdu d'avance, comme tous ceux de la médecine issue de l'expérimentation animale d'ailleurs, puisque c'est seulement le Taux vibratoire cellulaire qui autorise, ou non, l'émergence des fameux "agresseurs".
L'état de délabrement de certains malades, ajouté à l'agression des traitements médicaux, permet de comprendre le surgissement de ces pathologies. Et ce ne sont pas les techniques de stérilisation de plus en plus sophistiquées, coûteuses et agressives, qui permettront d'enrayer ce fléau.
Où trouve-t-on des bacilles chez les individus sains ? Partout où des cellules meurent, libérant leurs constituants, sur la peau, dans les cavités naturelles, un maximum se retrouvant dans l'intestin, car il est le lieu d'aboutissement d'un processus de destruction de bol alimentaire. Evidemment, ces bacilles ne sont pas pathogènes. Ils ne sont que les témoins d'un processus vital nommé catabolisme. Partout où des cellules meurent, lors d'une injection par exemple, elles libèrent ces fameux "agresseurs" que certains s'obstinent à rendre responsables des maladies, alors qu'ils n'en sont que les témoins.
L'enquête de Sylvie Simon va permettre au public d'avoir une approche rigoureuse des données du problème. Elle va autoriser ceux qui voudront se donner la peine de réfléchir à réclamer la juste liberté d'un choix pour eux-mêmes pour ne pas subir des agressions obligatoires, soutenues et perpetuées par l'inqualifiable comportement des "experts" dont l'information archaïque signe l'inadaptation à l'évolution des sciences.
La motivation n'est plus, loin s'en faut, la santé des peuples, mais la rentabilité et la fortune des laboratoires pharmaceutiques.
Toutes ces gabegies débouchent sur les scandales qui perturbent notre vie quotidienne et ruinent notre économie. Les responsables ne paient jamais, les experts incompétents ou malhonnêtes sont toujours là. Ils sont pourtant régulièrement dénoncés par la science et même par certains politiques. Et s'ils ne sont jamais inquiétés, ce n'est que grâce au soutien des puissances financières qu'ils servent.
Merci à Sylvie Simon d'avoir su mettre à jour ce qui sera l'un des plus grands scandales à venir, source de nombreux procès. Ils permettront aux victimes la reconnaissance de leurs souffrances, causées par ceux qui avaient pour mission de les protéger et parmi lesquels, nous l'espérons, il n'y aura plus de "responsables mais pas coupables"!
Désolée pour la longueure du texte mais je vous assure que ça vaut vraiment la peine de lire ce livre. Il y a aussi toute la description de chaque vaccins et les conséquences. Alors je vous conseille vivement de vous y intéresser et vous comprendrez tout le mal que cela peut créer à vos petits anges !
A bientôt et si vous avez des questions sur un quelconque vaccin, demandez-moi !
Les vaccinations affaiblissent nos défenses immunitaires et peuvent générer de très graves effets secondaires : autisme, diabète, paralysies, cancers...
Les pouvoirs publics et les laboratoires persistent pourtant dans leur propagande. On nous trompe, car les enjeux financiers du "commerce vaccinal" sont colossaux.
Sylvie Simon a réalisé une enquête magistrale : documentation étayée sur chaque vaccin, son efficacité et ces risques réels; révélations et informations inédites collectéés auprès des scientifiques internationaux : médecins, biologistes et chercheurs dont l'intégrité et la compétence ne font aucun doute.
En voici un extrès pour vous convaincre de le lire (préface) :
Je voudrais saluer sa lucidité et son courage. Aujourd'hui, elle ne craint pas de s'attaquer au puissant lobby des vaccinations. Une fois de plus, elle analyse sans complaisance les données du problème.
Son énorme travail de synthèse livre au public les informations qui vont lui permettre de se faire une opinion, loin du battage médiatique de désinformation, au service des puissances d'argent qui ne peuvent se permettre de laisser filtrer la vérité.
La parole ayant toujours été donnée aux "vaccinalistes", adulateurs de Louis Pasteur (on se demande comment des générations de biologistes ont pu être aussi aveugles), Sylvie Simon la donne enfin à ceux qui, ayant gardé leur esprit critique, ont été capables de sortir du système en s'effarant d'une telle dérive, aussi grave pour non concitoyens que pour le reste du monde.
Il faut également rendre hommage aux courageux médecins et scientifiques (qui ont tout à perdre dans ce combat) et qui dénoncent, eux aussi, l'imposture scientifique prônant les vaccinations...
Il est aujourd'hui reconnu que Pasteur fut un faussaire. Béchamp, Tissot et d'autres l'avaient eu leur temps dénoncé. Leurs expériences irréfutables ont montré que l'approche de Pasteur concernant les microbes était fausse, lui-même l'ayant reconnu sur son lit de mort !
Comment expliquer l'absence de critiques depuis cent ans ? La communauté scientifique, une fois de plus, s'est satisfaite de vues à court terme : la disparition du microbe ou du virus et l'apparente éradication de la maladie.
Si l'on peut faire apparaître tel microbe ou tel virus en fonction de la composition du milieu de culture, il faut bien admettre qu'il était déjà présent dans les cellules et que seule la nature du terrain lui permet ou non de se manifester.
Louis Pasteur l'avait d'ailleures lui-même prouvé dans une communication à l'Académie des Sciences. Il a démontré le rôle du stress sur le résultat de l'inoculation du bacille du charbon en présentant deux poules inoculées. Seule est morte celle qui avait été soumise à une exposition au froid avant l'injection.
Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour avoir accès à ces informations ? Pourquoi le point de vue d'un savant comme Antoine Béchamp n'est-il pas enseigné dans les facultés ? Cela permettrait à des chercheurs de vérifier la véracité de ces travaux. Ainsi le scandale des vaccinations, erreur médicale s'il en est, ne serait pas perpétué. Or, il se poursuit à cause d'un matraquage médiatique de manipulation et de piblicité abusive, afin de préserver les énormes intérêts financiers liés aux vaccinations massives. Ces dernières contribuent au déficit majeur de la Sécurité Sociale.
Aujourd'hui, il est temps de mettre un terme à ces mensonges. La nouvelle médecine, celle de l'information, nous permet une approche de la maladie totalement différente. Elle nous fait considérer les vaccinations comme l'une des plus grandes erreurs de notre temps, le vestige médiéval d'une approche anti-scientifique, qui refuse de prendre en compte le "terrain". Et pourtant, que n'a-t-on rabâché : "Le microbe n'est rien, le terrain est tout!"
Un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus "agresseurs", microbes, virus et autres prions, ne sont rien d'autre que des constituants cellulaires. Ce sont donc des produits endogènes en non des "agresseurs venus d'ailleurs". Il est alors aberrant de vouloir immuniser un organisme contre ses propres constituants ! En procédant ainsi, on change la nature du terrain, donc la vibration, et le virus ou microbe ne se manifestent plus. Divine Science !
La conséquence en est qu'une autre pathologie aura des chances de faire son apparition ; personne, ou presque, ne songera à la relier avec cet acte barbare et contre nature que constitue la vaccination.
On prédend éradiquer des maladies alors que l'on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant, par méconnaissance des mécanismes du vivant, de reconnaître les conséquences néfastes du déplacement du terrain.
Dès lors comment s'étonner de la montée en flèche des maladies nosocomiales (contractées dans les hôpitaux) ? A l'ère de l'asepsie, recherchée à grands frais dans ces établissements, le combat est perdu d'avance, comme tous ceux de la médecine issue de l'expérimentation animale d'ailleurs, puisque c'est seulement le Taux vibratoire cellulaire qui autorise, ou non, l'émergence des fameux "agresseurs".
L'état de délabrement de certains malades, ajouté à l'agression des traitements médicaux, permet de comprendre le surgissement de ces pathologies. Et ce ne sont pas les techniques de stérilisation de plus en plus sophistiquées, coûteuses et agressives, qui permettront d'enrayer ce fléau.
Où trouve-t-on des bacilles chez les individus sains ? Partout où des cellules meurent, libérant leurs constituants, sur la peau, dans les cavités naturelles, un maximum se retrouvant dans l'intestin, car il est le lieu d'aboutissement d'un processus de destruction de bol alimentaire. Evidemment, ces bacilles ne sont pas pathogènes. Ils ne sont que les témoins d'un processus vital nommé catabolisme. Partout où des cellules meurent, lors d'une injection par exemple, elles libèrent ces fameux "agresseurs" que certains s'obstinent à rendre responsables des maladies, alors qu'ils n'en sont que les témoins.
L'enquête de Sylvie Simon va permettre au public d'avoir une approche rigoureuse des données du problème. Elle va autoriser ceux qui voudront se donner la peine de réfléchir à réclamer la juste liberté d'un choix pour eux-mêmes pour ne pas subir des agressions obligatoires, soutenues et perpetuées par l'inqualifiable comportement des "experts" dont l'information archaïque signe l'inadaptation à l'évolution des sciences.
La motivation n'est plus, loin s'en faut, la santé des peuples, mais la rentabilité et la fortune des laboratoires pharmaceutiques.
Toutes ces gabegies débouchent sur les scandales qui perturbent notre vie quotidienne et ruinent notre économie. Les responsables ne paient jamais, les experts incompétents ou malhonnêtes sont toujours là. Ils sont pourtant régulièrement dénoncés par la science et même par certains politiques. Et s'ils ne sont jamais inquiétés, ce n'est que grâce au soutien des puissances financières qu'ils servent.
Merci à Sylvie Simon d'avoir su mettre à jour ce qui sera l'un des plus grands scandales à venir, source de nombreux procès. Ils permettront aux victimes la reconnaissance de leurs souffrances, causées par ceux qui avaient pour mission de les protéger et parmi lesquels, nous l'espérons, il n'y aura plus de "responsables mais pas coupables"!
Désolée pour la longueure du texte mais je vous assure que ça vaut vraiment la peine de lire ce livre. Il y a aussi toute la description de chaque vaccins et les conséquences. Alors je vous conseille vivement de vous y intéresser et vous comprendrez tout le mal que cela peut créer à vos petits anges !
A bientôt et si vous avez des questions sur un quelconque vaccin, demandez-moi !